
« Il n’est pas vrai que notre civilisation est inhumaine. Il n’est pas vrai que le progrès est catastrophique. Il n’est pas vrai que notre société est invivable.
Alliénation, pollution, surpopulation, sont des mythes. La grande injustice faite au Tiers Monde est aussi un mythe.
Bien entendu, il y a des dangers, des accidents, des problèmes. La navigation est difficile ? Oui, mais permettez : je ne fais pas confiance aux gens qui, à propos de la mer, ne me parlent que du mal de mer.
Des élites atteintes de sinistrose. Une opinion découragée par l’Eglise du Pessimisme occidental, une jeunesse corrodée par la canaillerie du dégoût. Voilà ce que cette lettre dénonce.
Pourtant des millions d’hommes, qui ne sont ni imbéciles ni pervers, trouvent que les choses, après tout, ne vont pas si mal que ça. Ces millions d’hommes ne manquent ni de confiance, ni d’espoir, ni de raisons de vivre dans cette société libérale. Mais ils n’osent plus l’avouer de crainte d’aller contre la super-mode du mécontetement.
Cette lettre réagit contre l’escroquerie morale organisée par les « nabots criards du négativisme ».
Persuader que les hommes qu’ils sont malheureux est une action infâme.
C’est une tâche sacrée que de répéter à l’homme qu’il est heureux et qu’il ne s’agit pour lui que de se rendre compte. »
L. P.
Alliénation, pollution, surpopulation, sont des mythes. La grande injustice faite au Tiers Monde est aussi un mythe.
Bien entendu, il y a des dangers, des accidents, des problèmes. La navigation est difficile ? Oui, mais permettez : je ne fais pas confiance aux gens qui, à propos de la mer, ne me parlent que du mal de mer.
Des élites atteintes de sinistrose. Une opinion découragée par l’Eglise du Pessimisme occidental, une jeunesse corrodée par la canaillerie du dégoût. Voilà ce que cette lettre dénonce.
Pourtant des millions d’hommes, qui ne sont ni imbéciles ni pervers, trouvent que les choses, après tout, ne vont pas si mal que ça. Ces millions d’hommes ne manquent ni de confiance, ni d’espoir, ni de raisons de vivre dans cette société libérale. Mais ils n’osent plus l’avouer de crainte d’aller contre la super-mode du mécontetement.
Cette lettre réagit contre l’escroquerie morale organisée par les « nabots criards du négativisme ».
Persuader que les hommes qu’ils sont malheureux est une action infâme.
C’est une tâche sacrée que de répéter à l’homme qu’il est heureux et qu’il ne s’agit pour lui que de se rendre compte. »
L. P.
J’ai choisi ce livre dans le cadre du « Challenge Mystère » organisé sur Livraddict.. J’ai donc choisi ce livre relativement au hasard, sur le simple titre et la couverture… Bien que pour la couverture, elle ne soit pas très marquante et bien tristounette par rapport au titre.
Un point positif cependant pour ce titre: Il n’y avait pas de résumé à la fin du livre, donc même si j’avais été tentée de « tricher », peine perdue, je n’aurais pas eu de quoi aller assouvir ma curiosité.
Avant de commencer la lecture, j’ai essayé d’imaginer le contenu… un petit récapitulatif des petits bonheurs de la vie? Une ode à l’optimisme? Ou au contraire, de quoi casser un optimisme trop prononcé en nous montrant tout ce qui ne tourne pas rond dans le monde?
Finalement, force est de constater que je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait…
Et finalement, grosse déception, au point que je n’ai même pas terminé le livre. Il montrait surtout toutes les situations où le pessimisme l’a emporté, alors que tout aurait, selon l’auteur, été mieux avec une vision très vieillotte des choses et de l’optimisme.
Bref, je me suis ennuyée comme jamais…
D’ailleurs, je préfère ne même pas lui mettre une note, n’ayant pas été jusqu’au bout.
Donc un coup dans l’eau pour ce challenge, espérons que la seconde partie du challenge sera plus agréable…