Quatrième de couverture:
« Tout était si beau. Après une enfance cauchemardesque, Mary a enfin rencontré, en la personne de Gunther, étudiant en médecine, un homme tendre et attentif qui lui promet le bonheur. Mariage, voyage de noce,une grossesse certes un peu plus rapide que prévu mais non moins désirée. La naissance d’une adorable petite fille, Maria. Puis un jour, le choc : une inconnue se présente à la porte, prétendant être la légitime épouse de Gunther. Sous l’apparence si lisse du jeune médecin se cache un visage plus sombre, des mystères qui menacent le bonheur de Mary. Et il y a surtout ce secret qui entoure la naissance de Maria, cette petite qui ressemble tellement – trop ? à sa mère…?
Pouark! J’ai détesté…
La romance et moi, ça ne fait vraiment pas bon ménage… Au moins, j’ai essayé…
Je dois reconnaître qu’il est très rare que je me lance dans ce genre de livre, à savoir la lecture d’un livre de romance. J’associe cette appellation au mielleux, au « cucul la praline », et j’ai horreur de ça en matière de littérature, même si je me laisse parfois tenter par de telles histoires en téléfilm quand j’ai envie de me vider la tête.
Dans « l’enfant du mensonge », le début était prometteur… on y découvre l’histoire du personnage de Mary, que j’ai aimé, pris en sympathie dès le départ.
Et puis… ce qui devait arriver arriva… on est tombé dans le mélo, dans le niaiseux, et j’ai décroché voire détesté… Je n’ai d’ailleurs pas pu continuer la lecture, cela tenait du calvaire pour moi, car cette ambiance me pesait et m’ennuyait.
Je crois que je ne suis pas prête de retenter le coup avec un livre de pure romance …
ce livre me tente bien pourtant mais trop mielleux, a voir!
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