Là où le soleil ne se lève jamais
Giorgio Scerbanenco
Payot & rivages
2013
221 pages
Emmanuela Sinistalqui, fille du comte Sinistalqui, arrive menottée à l’institut Colchetti qui est en fait une maison de rééducation pour filles perdues. Dans cet enfer d’inhumanité, elle trouve l’oreille compatissante de la doctoresse, qui appartient elle aussi à une famille aristocratique. Elle lui raconte son histoire. A la mort de ses parents, elle a été placée chez sa grand-mère, mais celle-ci
reçoit chez elle des hommes qui font des avances à la jeune fille. Emanuela s’enfuit donc vers Rome où elle espère trouver protection chez Tonio, un garçon dont elle est amoureuse. Malheureusement ceux qui l’emmènent en voiture se révèlent être des braqueurs. Accusée de complicité, Emanuela tombe entre les mains de la police, puis de la justice. Elle va se battre pour retrouver sa dignité et sa liberté perdues.
Dès le départ, ce qui m’a heurté et dérangé dans ce livre, c’est le style de l’auteur… J’ai eu beau essayer, je n’y ai pas accroché du tout!
Je l’ai trouvé répétitif, redondant, le même mot pouvant revenir parfois 4 ou 5 fois dans le même paragraphe de manière inutile. Ca me donnait l’impression de tourner en rond et je n’ai pas aimé ça.
De plus, l’auteur est visiblement adepte des lonnnngues phrases, et personnellement, je déteste. Du coup, ça m’a complètement rendu la lecture pénible. Je n’ai pas réussi à accrocher à l’histoire… mais alors pas du tout accroché, même…
Il faut dire que l’histoire en elle-même est assez particulière aussi… un roman noir, très sombre, qui tourne au mélodrame sentimental… bof bof.
J’ai trouvé qu’il y avait pas mal de clichés, de choses auxquelles on s’attend. Tout était, selon moi, sans surprise. Au pire, on aurait pu passer aisément 20 ou 30 pages du roman sans perdre le fil de l’histoire, ce qui selon moi n’est pas une bonne chose.
Point de vue des personnages, Emanuellea ne m’a du tout touchée, aucune émotion. Elle était là, au centre de l’histoire, mais sans plus.
Je profite toujours des Masse Critique de Babélio pour découvrir des livres que je n’aurais pas choisi spontanément autrement. J’essaie d’élargir mes horizons littéraires, mais je crois que la prochaine fois, j’y réfléchirai à deux fois lors de ma sélection de livres…
Tu ne me donnes pas envie non plus
Bonne journée
Bisous
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Je passe donc mon tour n_n
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Ahh zut pour ta note mais ton petit panda qui dit « je n’ai vraiment pas aimé j’aurais du regarder la télé » m’a bien fait sourire! 🙂
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Bonne lecture ma choupette!
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