La saveur du printemps de Emilie Richards

Editions Harlequin (Mosaïc)
537 pages – sortie : 23 avril 2014

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Sur le point de recouvrer la liberté après huit mois de prison pour un vol qu’elle n’a pas commis, Cristy Haviland sait qu’elle va devoir se battre pour redonner un sens à sa vie et composer avec les blessures du passé. Mais avant toute chose, un combat périlleux l’attend : affronter l’homme qui l’a envoyée en prison et qui, aujourd’hui encore, a le pouvoir de la détruire.
Georgia Ferguson, elle, est proviseur d’un lycée dans le comté de Bunscombe. Et lorsqu’elle trouve dans son bureau un mystérieux bracelet, accompagné d’une enveloppe contenant de vieilles coupures de journaux faisant référence à sa propre histoire, elle comprend que l’opportunité qu’elle attend depuis toujours est peut-être en train de se présenter. L’opportunité excitante, mais aussi terriblement perturbante, de retrouver sa mère biologique qui l’a abandonnée à sa naissance.
Au cœur de la Caroline du Nord, dans une ravissante maison au jardin féerique, ces deux femmes que tout sépare puiseront dans leur amitié la force de prendre les décisions difficiles qui les attendent sur le chemin d’une nouvelle vie…autres éditions

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Je dois vous avouer que ce livre et sa couverture m’ont immédiatement attirée. Oui, je suis faible, mais cela semblait frais, léger, tout en douceur….
Mais une fois ouvert, le livre est bien mois léger qu’il n’y paraît, et cela n’a pas été pour me déplaire malgré tout.

On ne découvre pas ne seule histoire, mais plusieurs de front…

Celle de Cristy, une jeune femme qui vient de passer 8 mois en prison pour un vol pour lequel elle ne cesse de clamer son innocence même après sa sortie. J’ai trouvé son personnage très touchant, son estime d’elle-même a été mise à mal pendant son emprisonnement, et c’est une femme brisée que l’on découvre.

Elle a été profondément marquée par cette expérience.

Elle va être recueillie, à sa sortie, par Samantha. Une jeune femme aux ambitions humaines magnifiques qui veut vraiment aider Cristy à s’en sortir et reprendre confiance en elle. Elle sera aussi le lien entre Cristy et Georgia. Cette dernière, c’est la mère de Samantha. Proviseur d’une école, elle a une histoire très touchante également puisqu’alors qu’elle ne sait pas grand-chose sur son passé d’enfant abandonnée jusqu’à ce que ce passé lui revienne en pleine figure quand elle s’y attend le moins.

Je dois avouer que c’est surtout le personnage de Cristy qui m’a plu, son histoire et son évolution m’ont intéressée et émue. Son combat pour reprendre sa vie en main, ainsi que pour récupérer son fils, né en prison…

La plume d’Emilie Richards est toujours aussi douce, aussi agréable, aussi délicate et plaisante. Elle manie le psychologique humain et l’émotionnel comme pas deux, et c’est toujours un plaisir de la retrouver, Elle parvient à nous décrire les émotions de manière tellement réelle et véritable… On ne peut pas le nier, les sentiments et émotions qu’elle nous offre sous sa plume sonnent juste, elles sont crédibles, et c’est ce qui fait le succès de ses livres, je pense.

Et que dire du décor de ce livre… rien qu’aux descriptions qui nous en sont faites, je donnerais n’importe quoi pour partir dans ce lieu magnifique et magique, une maison au milieu de la nature, avec un parc, un petit jardin potager, le calme… le rêve..

Au final, un livre frais sous les apparences mais qui cache des destins croisés et des histoires profondes et touchantes. J’ai aimé le côté humain qui s’en dégage et vous accroche le cœur…

 chroniques à lire

 Mycoton32 – Mutinelle

 

 

11 commentaires sur « La saveur du printemps de Emilie Richards »

    1. je dois dire que c’est la premiere fois qu’un livre est si différent de ce à quoi je m’attendais et qui me plaise autant 🙂
      si tu as l’occasion de le lire, j’espère qu’il te plaira
      bisous

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    1. Au départ, ça me faisait un peu peur aussi car je voyais les romans niais, à l’eau de rose, avec des mamours à toutes les pages…
      mais il y a certaines collections qui se démarquent beaucoup, comme Darkiss pour le jeunesse, Mosaïc pour le thriller la plupart du temps, ou Red dress ink pour la chick lit tordante 🙂

      toi qui lis en ebook, si un jour t’as envie d’en tenter un, n’hésite pas à le dire, je verrai ceux que j’ai 😉
      bisous

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      1. C’est exactement la représentation que je m’en fais oui, même si je reconnais que le dernier en date, dans la collection Mosaïc, avait mis ces idées reçues à mal, enfin pas toutes mais cela avait été une bonne surprise.

        Oki d’ac, je prends bonne note de la possibilité de prêt, merci beaucoup 🙂
        Mais avant liquidons du stock LOL!
        Bisous.

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      2. cete maudite PAL, tu n’as pas l’impression que les livres se reproduisent entre eux?? 🙂 on a beau lire, elle ne diminue pas, ce n’est pas normal 🙂
        bisous

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      3. Un vrai fléau! Pourtant je suis en challenge Kill the PAL donc très très peu d’achats à mon actif mais la bougresse, elle ne diminue pas! Bon je reconnais que je ne me prive pas non plus niveau emprunts donc je suis aussi un peu fautive, j’avoue. ^^
        Bisous.

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      4. J’ai arrêté de faire les deux pour ma part 😉
        Cela ne sert à rien hormis à amener des sentiments négatifs alors qu’il s’agit de notre passion donc ce n’est pas compatible ^^

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