Titre : La villa rouge
Auteur : James Patterson et David Ellis
Maison d’édition : L’archipel
Sortie : 2017
# de pages : 472 pages
Genre : Thriller
Dans les Hamptons (Long Island), au 7 Ocean Drive, se dresse une impressionnante maison à la façade gothique avec une vue imprenable sur l’océan.
Mais elle est à l’abandon depuis plusieurs années et tombe en décrépitude. On la dit maudite. Il est vrai que la Villa rouge, telle qu’on la surnomme, a été par le passé le théâtre d’une série de meurtres jamais résolus.
Quand un nabab d’Hollywood et sa maîtresse y sont retrouvés sans vie, tous pensent que la malédiction frappe de nouveau.
Jenna Murphy, une ancienne flic de New York, va mener l’enquête. Elle qui, enfant, jouait sur la plage non loin de la maison, voit ressurgir en elle une terreur qu’elle croyait pourtant éteinte…
Mais la Villa rouge n’a sans doute pas encore révélé tous ses mystères… et Jenna pourrait bien en être la prochaine victime.
Encore un excellent roman de James Patterson!
Eh oui, encore un James Patterson puisque comme je vous l’avais dit, j’en avais reçu deux de suite…
Ici, l’histoire est ici totalement différente, puisqu’on est dans une histoire sur fond de malédiction… forcément, ça a titillé ma curiosité…
Une fois encore, je ne peux que saluer la plume exceptionnelle de l’auteur… James Patterson a vraiment le don de se jouer de nous, de nous mener par le bout du nez, et le pire, c’est qu’on aime ça et qu’on en redemande.
Un style inimitable, des chapitres très courts, qui font de ce livre un formidable turn-over, car on se dit « aller, encore juste un chapitre »… puis un autre, et un autre, et un autre… je crois que vous avez compris…
En plus, les chapitres courts, ça donne un ryhtme d’enfer au roman, et j’aime ça, surtout qu’il ajoute toujours le petit quelque chose qui donne envie d’en savoir plus.
J’ai beaucoup apprécié la manière dont l’histoire nous a été présentée… On fait des aller-retour entre le passé et le présent, et on alterne aussi le point de vue des personnages… Et ça, vous savez que j’aime ça… Car ça donne un tout autre regard sur l’histoire et bien souvent, ça sème encore plus le trouble car on ne sait plus à quel saint se vouer. D’un autre côté, ça nous donne encore plus l’occasion de poser nos propres hypothèses, de nous triturer le cerveau pour dénouer le tout, et… c’est juste ce qui fait un bon thriller…
Les personnages sont bien construits, le côté psychologique si cher à mon coeur est toujours bien présent et bien travaillé… Donc forcément, on ne peut que s’attacher à eux, d’une manière ou d’une autre. Même ceux qui ne sont pas les plus sympa, on les trouverait presque agréables.
Si certains éléments sont un peu prévisibles, malgré tout, les gros rebondissements vont bon train et on ne les voit pas venir… surtout la fin qui est une belle claque, je trouve.
Ahh il n’y a pas à dire, James Patterson est sur le point de devenir un de mes auteurs chouchous…
Lu en partenariat avec la maison d’édition
Belle critique, pourquoi la maison est-elle bleue sur la couverture?
Bisous
J’aimeJ’aime
Il faut que je le lise 🙂
J’aimeJ’aime
Je les ai vus les deux en librairie hier et tes billets me donnent envie de les lire les deux. Un auteur que je n’ai jamais lu.
J’aimeJ’aime