Les dix plus beaux jours de ma vie de Adena Halpern

Malencontreusement renversée par une Mini Cooper alors qu’elle promenait sa chienne, Alexandra Dorenfield, 29 ans, se réveille au paradis. Et découvre, ébahie, qu’on y exauce tous ses vœux : elle a le droit d’emménager dans la maison de ses rêves, dispose d’un dressing de folie, et peut se gaver honteusement de gâteaux et de chocolat sans prendre l’ombre d’un microgramme… Pas de doute, elle se trouve à l’étage VIP du paradis. Et comme la perfection est bien de ce monde céleste, son nouveau voisin, Adam, est à tomber. Mais voilà, pour rester au paradis version septième ciel, il y a une condition. Prouver qu’on le mérite. Faire le récit des dix plus beaux jours de sa vie sur Terre. Si Alexandra échoue à cet examen, elle dégringolera de plusieurs étages… Adieu dressing, amour et chocolat ! Autant dire l’enfer.

 

Les dix plus beaux jours de ma vie de Adena Halpern
Editions Harlequin/ Mosaïc – 288 pages – Sortie: 4 mars 2015
Sur Amazon au format broché pour 18.90€, au format ebook pour 13.99€

arabesque1Je ne saurais vous expliquer pourquoi, mais dès le départ le titre de ce livre m’a interpellée…
Et j’ai tout de suite également trouvé la couverture amusante… C’est comme ça qu’alors que je mourais ( sans jeu de mots, promis je l’ai pas fait exprès ) d’envie de lire un thriller, je me suis retrouvée dans la lecture de cette comédie un peu dramatique ( il y a un décès, quand même, et une place au paradis à gagner), un peu romantique ( merci le voisin top canon) et très humoristique… et c’est ce côté humoristique que j’ai vraiment adoré…

Pour ma part, je suis entrée assez facilement dans l’histoire, principalement parce que tout nous est narré à la première personne et que du coup, c’est tout de suite convivial.

Alexandra, l’héroïne et narratrice, dans sa manière de s’exprimer et d’être, n’est pas sans me rappeler Becky de la saga de l’accro du shopping… Même si ce personnage est au départ super superficiel et un peu énervant, on ne peut que s’y attacher. Elle va devoir passer en revue dix moments marquants de sa vie, et je n’ai pu m’empêcher de me demander quels seraient mes « morceaux choisis » si je me retrouvais à sa place…
Pas évident du tout.

J’ai aimé suivre ce résumé de sa vie, ses mésaventures et son évolution tout au long du roman… Même si on devine assez vite l’issue du livre, ça ne gâche rien a la lecture…

La plume de l’auteur est agréable, elle a le chic pour faire passer les sentiments et les émotions, les chapitres s’enchaînent pour le bonheur du lecteur, et même si je ne suis pas spécialement accro à ce genre de lectures, j’ai bien fait de suivre mon instinct et mes envies du moment car j’ai passé un excellent moment.

Au final, mon avis général…

 5 sur 5
C’est un livre idéal pour se changer les idées, on a de la bonne humeur à toutes les pages, et c’est bien agréable… On se retrouve devant un savant mélange d’humour, d’introspection, d’émotions, d’amour et de réflexion sur la vie…

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

 

 

Le secret de Church Island de Lisa Jackson (2014)

Editions Mosaïc
507 pages
Sortie : 13 Novembre 2014

Genre: Thriller

Deux ans plus tôt, le petit Noah Garrisson a disparu. Et même si son corps n’a jamais été retrouvé, personne n’en doute : le petit garçon de deux ans est mort noyé dans l’océan Pacifique après être tombé d’un ponton. Personne, sauf sa mère, Ava, qui depuis cette nuit de cauchemar, a sombré dans une grave dépression.
Enfin de retour chez elle à Neptune’s Gate, le manoir de Church Island où elle vit avec son mari, Ava se met à avoir d’étranges et perturbantes visions : celles de Noah sur le ponton, dans la nurserie… Et si ces visions la font douter d’avoir encore toute sa raison, elles lui donnent aussi la force de continuer à croire que son fils est encore en vie. Cette intuition est si forte qu’elle s’en fait le serment : à présent qu’elle est revenue chez elle, elle va tout faire pour découvrir ce qui s’est réellement passé cette nuit-là, et pour percer les secrets que lui cache son entourage. Ce qu’elle ne sait pas encore, c’est à quel point est dangereuse, perturbante, la vérité qu’elle devine cachée derrière les brumes de Church Island, cette île coupée du monde…

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

  

Ma note

5 sur 5

 

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avis 2Que vous dire: Un livre Mosaïc, de Lisa Jackson, avec une couverture où figure un phare et une histoire de disparition d’enfant… Je ne pouvais pas ne pas craquer pour ce livre…

Vous allez vous dire que je répète toujours la même chose pour les romans de Lisa Jackson, mais pourtant, c’est tellement ce qui la caractérise: une histoire prenante, qui nous accroche dès les premières pages, voire les premières lignes, pour ne plus lâcher le lecteur avant la dernière page….
Un style percutant, addictif, qui emmène là où elle le veut… d’indices en faux indices, de rebondissements en découvertes, de suspense en tension palpable…

Vous l’aurez compris, pour moi, elle caractérise tout ce qui me plait dans un thriller digne de ce nom… et a le don de me faire prendre des vessies pour des lanternes, me faire penser que j’ai découvert le pot aux roses depuis longtemps, et arriver à la chute du roman en me demandant si j’étais bien là tout du long car je n’ai rien vu venir… j’adore ça…

Point de vue de l’histoire… du suspense à toutes les pages, des meurtres qui viennent semer le trouble et le doute, bref, on est tellement pris dans l’histoire qu’on n’arrive pas à lâcher le livre et que les heures filent à une vitesse pas possible… et une fois que l’on commence à tenir le fil conducteur et voir exactement ce qu’il en est, c’est encore pire… on veut suivre le dénouement jusqu’au bout le plus vite possible, et on se rend compte à quel point l’auteur a le don pour nous mener en bateau.

Ava est une femme attachante, on ne peut qu’avoir de la peine pour elle, sachant qu’elle a perdu son fils tragiquement, deux ans plus tôt, le soir de Noël. Elle n’a pas eu la vie facile suite à cela, et j’avoue que malgré tout, elle a beaucoup de force en elle.
Sa famille… il faut bien démêler le vrai du faux pour savoir qui est de son côté et qui ajoute un peu de brouillard dans l’histoire… A vrai dire, à force, on en vient soi-même à douter de tout, de tout le monde, et de tout ce que l’on croit aussi… c’est hyper perturbant et prenant, au final.

L’ambiance sur l’île est lourde, pesante, assez sombre, et j’ai aimé ça…
les rebondissements sont là juste quand il faut, et les personnages sont bien amenés et agencés… que demander de plus?

 Un livre que je vous conseille, vous l’autre compris… 

Pour que tu n’oublies pas de Karen Rose

2014
Editions Harlequin (Mosaïc)
617 pages | Traduit par Françoise Nagel
Sortie : 1 Octobre 2014

Genre: thriller
Mots clé: enfant, enlèvement, vengeance, passé

Quand elle apprend que son fils de vingt ans a été enlevé, Daphné Montgomery, folle d’angoisse, pense aussitôt à une vengeance orchestrée par le criminel qu’en sa qualité de procureur de Baltimore elle vient de faire inculper pour meurtre. Une conviction qu’est loin de partager Joseph Carter, l’agent spécial du FBI chargé de l’enquête. Aux yeux de celui-ci, cette piste est trop simple, trop évidente. Tous deux se lancent alors dans une enquête complexe, terrifiante. Pour Daphné, il s’agit de sauver son fils, tout en faisant face aux souvenirs oppressants de l’enlèvement dont elle a elle-même été victime, enfant. Un traumatisme violent qui, elle le comprend peu à peu, pourrait être lié aux événements d’aujourd’hui. Se peut-il que son ravisseur d’autrefois, qu’on n’a jamais arrêté, soit mêlé à l’enlèvement de son fils ? Se peut-il qu’après toutes ces années il ait décidé de s’attaquer de nouveau à elle, à sa famille ? Aidée de Joseph Carter, cet homme qui l’attire depuis longtemps mais qu’elle se refuse à aimer, Daphné va devoir plonger dans le plus sombre des cauchemars pour trouver les réponses à ses questions.

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

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Ma note

5 sur 5

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avis 3Est il besoin de vous rappeler que Karen Rose est à mes yeux une des auteurs phare de la collection Harlequin Mosaïc qui me ravit… ? C’est pourquoi je n’ai pas hésité une seule seconde à la vue de ce roman et de sa couverture plus qu’engageante …

Même si ce livre n’est pas un coup de cœur, j’en ai beaucoup apprécié la lecture. J’ai retrouvé avec grand plaisir la plume fluide, naturelle et tellement agréable de l’auteur, …

Ce qui est un peu « amusant» avec ses livres, c’est que d’un livre à l’autre, on retrouve certains personnages, et parfois, je mets un peu de temps à me dire « mais où je l’ai déjà rencontré, celui là ? ». Mais quoi qu’il en soit, comme les livres ne font pas une série à proprement parler, si vous n’avez pas encore lu d’autres livres de l’auteur, ça ne gênera en rien votre lecture, promis !

Le fait d’avoir plusieurs narrateurs au final, ça met encore un coup de pression… Mais l’alternance des points de vue, vous savez, ça me plait…

On suit l’histoire principalement « de la tête du méchant », histoire de bien s’imprégner de ses ressentis et de vivre les choses à travers ce côté obscure de la force pour encore plus de psychose et de suspense…  et ce que j’aime avec les livres de Karen Rose, c’est que même si on est persuadés, dès le départ, d’avoir compris, de tout savoir, eh bien non.. « Méfiez vous des apparences »… Car il faut le reconnaître, elle a un don pour nous perdre, nous faire douter de tout, et ce sans même que l’on ne s’en rende compte sur le moment… tout paraît tellement logique, tellement évident… Sauf que ce n’est finalement pas si simple, et c’est ce qui fait la richesse de sa plume.

Point de vue des personnages, sinon, j’ai aimé le fait de ne pas les voir qu’acteurs de l’action, mais bien présents et bien présentés… on apprend leur histoire, leur passé, leur personnalité… on apprend à les connaître… « c’est fin, ça se mange sans faim »… bref, que du bonheur à lire… (si on aime avoir l’impression qu’on connaît mieux ses personnages que nos propres voisins, bien entendu…)

Ne vous laissez pas surprendre (ou effrayer) par la brique que représente ce roman, car franchement, ça glisse tout seul, ça se lit hyper facilement car il n’y a pas de passages lourds et inutiles (à part peut-être un peu à la fin, histoire de faire durer le suspense…), les rebondissements sont là pour rythmer l’histoire et vous trouverez même un peu d’humour (pas de franche rigolade, soyons sérieux quand même) pour détendre un peu l’atmosphère avant de vous remettre un coup de stress.

Je l’ai lu en plus ou moins une semaine, à raison de deux/trois  heures par jour, à peu près…

Si je résume : une plume géniale, des personnages intéressants et aboutis, une intrigue rondement menée et cohérente…  FONCEZ… 

Bonne journée les petits loups…

Dans les yeux du tueur de Maggie Shayne

Quarante-huit heures après la greffe de cornée dont elle a bénéficié, Rachel de Luca prend conscience qu’elle vit à la fois un miracle, et un cauchemar. Un miracle parce qu’elle a recouvré la vue alors qu’elle était aveugle depuis l’âge de 12 ans. Un cauchemar parce que, aussitôt après l’opération, elle a de terrifiantes visions mettant en scène des crimes atroces, des visions d’autant plus angoissantes que les crimes qu’elle voit ont bel et bien eu lieu dans la réalité, et qu’ils sont l’œuvre d’un serial killer.
Comprendre ce qui lui arrive, échapper à la menace sombre et diffuse qui se resserre un peu plus chaque jour autour d’elle… Face à l’urgence, face au danger, la seule personne à laquelle elle puisse s’adresser est l’inspecteur Mason Brown. Un homme secret, mystérieux, mais le seul, elle le sent, à pouvoir l’aider face au prédateur qui a pris possession de son esprit.
Dans les yeux du tueur  de Maggie Shayne
Editions Harlequin (Mosaïc), 29 Octobre 2014, 316 pages | Traduit par Carole Benton

 

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

Ma note

4 sur 5

 

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avis 5Je dois vous avouer que le thème du livre m’a immédiatement attirée, étant donné que j’ai déjà eu la possibilité de voir quelques films sur ce thème… mais jamais lu de livres qui en traitaient…

Il s’agit donc d’une femme qui subit une greffe de cornée, et qui, suite à cette greffe, se met à avoir des « visions » qui se voudraient être celles d’un psychopathe de premier ordre, tueur en série, et j’en passe… (et vous savez que rien que de lire « tueur  en série », bam, je me fais avoir et je me laisse tenter…)

J’avoue que j’avais hâte de voir comment cela allait être abordé sans tomber dans le cliché ou l’abracadabrantesque (ça se dit ?) et au final, je ne suis pas déçue car j’ai passé un excellent moment (et je vous avoue qu’après la brique de Karen Rose, un thriller plus léger et plus court, j’ai apprécié malgré tout…)

Bref, venons-en à l’essentiel, mon avis sur le livre …

Si j’avais un petit bémol à formuler (ben oui, autant commencer par les réjouissances, non ?) c’est que pour un livre « court », puisqu’il ne fait que 315 pages (si mes souvenirs sont bons), l’action est hyper lente à démarrer… si je n’avais pas ma curiosité attirée par ce qui allait se passer grâce au résumé, je me serais certainement ennuyée. Mais heureusement, si les débuts sont laborieux, une fois que l’action commence, ça devient bien plus plaisant et on oublie vite les longueurs du début. On y retrouve des secrets, des mensonges, des meurtres, des cauchemars, … que du bonheur et la joie dans les cœurs (ou pas…)

Ce qui m’a énormément marqué, c’est le personnage de Rachel… Cette femme a une volonté et une force incroyables qui la rendent terriblement intéressante et attachante. Elle a un caractère bien trempé, ne prendra pas quatre chemins pour vous dire le fond de sa pensée, et a un « don » particulier pour en un clin d’œil, cerner les gens qui l’entourent ou qu’elle rencontre… Et bien qu’elle soit auteure de guides de développement personnel, elle a un cynisme accru sur la vie qui contrebalance les choses qu’elle écrit et auxquelles elle ne croit pas du tout… Elle est un personnage plein de surprises et de nuances, que j’ai aimé découvrir.

Sinon, pas grand-chose de plus à dire. Ce n’est pas LE roman de l’année, mais il est assez sympa même si sa « simplicité » pourrait en décevoir plus d’un si vous vous attendez à quelque chose de corsé… Je le mettrais dans la catégorie des « thrillers gentils pour moment de détente sympa »… Non, sans rire, … Un livre bien mené, qui saura vous accrocher si vous prenez le temps de dépasser les 50 premières pages sans vous ennuyer…

***

movie_49094 téléchargementUn film sur le même thème : The eye (2008). Sydney Wells, une jeune violoniste de talent, aveugle depuis l’âge de cinq ans, vient à peine de subir une opération de transplantation de cornée, qui lui permet de retrouver son sens perdu. Après un court moment de bonheur engendré par sa vision retrouvée, Sydney commence à voir d’horribles visions, est assaillie de violents cauchemars et découvre avec horreur que ses nouveaux yeux lui font voir les fantômes qui entourent les vivants. Rapidement, elle découvre le nom de la personne à qui appartenaient les yeux, Anna-Christina, et se rend au Mexique pour la retrouver…

 

 

 

Neige mortelle de Karen Harper

2014
Editions Harlequin (Best-sellers)
480 pages – Sortie : 1 Novembre 2014

Genre: Policier, romance légère
Mots clé: Communauté Amish, meurtre, vérité,

Un cadavre de femme, retrouvé enseveli sous la neige. Puis, quelques jours plus tard, une autre femme, découverte assassinée à deux pas de chez elle… Comme tous les autres habitants de la petite communauté de Home Valley où elle vit, Lydia Brand est bouleversée. Ces décès inexpliqués sont-ils de simples coïncidences ? Au plus profond de son cœur, Lydia est persuadée que non. Pire, elle éprouve le désagréable sentiment qu’ils sont intimement liés à l’enquête qu’elle mène pour retrouver ses parents biologiques… Cherche-t-on à l’empêcher de découvrir la vérité ?
Bien que gagnée peu à peu par la peur, Lydia se résout à vaincre ses réticences et à se confier à Josh Yoder, l’homme pour qui elle travaille… et qui fait battre son cœur en secret. Aussitôt sur le qui-vive, Josh lui en fait la promesse : il l’aidera à lever le voile sur ses origines, et la protégera de l’ennemi invisible qui la guette dans l’ombre.

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

 

Ma note

4 sur 5

 

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avis 5On se retrouve ici face au tome 4 d’une série… et autant vous dire que quand j’ai choisi ce livre, je n’en savais rien… Quoi qu’il en soit, ça n’a pas gêné ma lecture, et que ce soit le tome 4 ou le 1er, ça n’a rien changé au final 🙂 sauf si on a envie de lire les autres livres home valley(les tomes précédents) de la série… car dans Neige Mortelle, il y a des petites références qui font qu’on pourrait s’auto spoiler sur les tomes précédents… (on retrouve entre autre, les mêmes, lieux et les mêmes personnages si j’ai bien compris au vu des résumés des autres tomes… ) je vous mets ici à droite les trois précédents tomes, que du coup, j’ai hâte de trouver en occasion…

J’ai adoré cette lecture principalement à cause de l’environnement, le milieu de l’action, justement : on se retrouve dans une communauté amish.. et vous savez, si vous me suivez régulièrement, que j’adore les livres qui se passent dans ces communautés, histoire d’en apprendre un peu plus sur elles.

J’ai adoré cette histoire, qui lie à la fois meurtres et secrets de famille (ici, par rapport au passé et à la famille de Lydia)… Bien que l’on retrouve souvent ce « schéma » dans la littérature Harlequin, je dois avouer que ce n’est jamais vraiment pareil, …

Et puis, faible que je suis, j’ai aussi craqué pour la couverture : une maison isolée au milieu de nulle part, sous la neige… j’aime ça 🙂

J’ai aimé Lydia, son caractère, sa détermination, et tout ce qu’elle va entreprendre pour découvrir la vérité dans ces deux mystères… Elle a eu une belle vie jusqu’ici avec ses parents, sa seconde famille, mais elle a toujours eu envie de savoir qui étaient ses « vrais » parents (je déteste ce terme, au final)… alors quand un cadavre retrouvé lui apprend que sa mère biologique serait toujours en vie… ça attise sa curiosité, et on le serait bien à moins.

Il y a énormément de suspense également, avec des rebondissements et révélations au bon moment qui permettent de garder toute l’attention du lecteur… Les choses avancent certes lentement, mais cela permet de n’apprécier que mieux les personnages, les lieux, et l’histoire. Ce livre est riche de traditions familiales, de valeurs un peu « old school », à la manière des Amish tout simplement, et s’y attarder un peu est très plaisant, je trouve.

Pour ceux qui craignent l’aspect romance, sachez qu’il n’y a pas de romance lourde et ennuyeuse…  cela reste très « doux », très pudique, je dirais et très discret. Elle ne prend donc pas le pas sur le côté policier/thriller, et c’est tant mieux.

Le style est plaisant à lire, c’est simple, sans fioriture, ça « glisse tout seul ». Donc oui, on n’est pas dans du grand thriller, mais c’est le genre de lectures que j’aime malgré tout… Et puis, je dois être bon public, car jusqu’à la fin, je me suis trompée sur le coupable 🙂

Si vous avez l’occasion de le découvrir, n’hésitez pas…

Life in Icicle Falls, tome 2 : Noël à Icicle Falls de Sheila Roberts

Editions Harlequin (Best-sellers)
352 pages
Sortie : 1 Novembre 2014

Genre: Romance
Mots clé: Noël, Famille, séparation

Tout avait pourtant si bien commencé… Cassie Wilkes, propriétaire de la petite pâtisserie d’Icicle Falls, doit pourtant l’admettre : si le repas familial qu’elle a préparé pour Thanksgiving frise la perfection absolue, il n’en va pas de même pour le reste de son existence. Loin de là. Sa fille unique ne vient-elle pas d’annoncer à table, devant tous les convives, qu’elle comptait se marier le week-end précédant Noël (autant dire dans cinq minutes) avant de déménager dans une autre ville ? Pire, qu’elle voulait que son père (autrement dit son épouvantable ex-mari) la conduise à l’autel ? Déjà proche du K-O, Cassie doit encaisser l’ultime mauvaise nouvelle de ce repas qui a décidément viré au cauchemar : son ex-mari, sa nouvelle femme et leur chien vont demeurer chez elle le temps des festivités…
Pour Cassie, cette période des fêtes sera à n’en pas douter pleine de surprises et de rebondissements…

Ce livre entre dans le cadre du challenge Lire en thème sur le thème de l’hiver…

Ma note

3 sur 5

 

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avis 7

Décidément, mes lectures de Noël ne commencent pas en grande forme, puisque c’est une semi déception pour moi… Le livre est sympa… mais… Je vous explique tout ça.

Au départ, rien que la couverture m’a fait envie… je n’ai même pas lu le résumé avant de choisir ce livre, car il rentrait pile dans mon état d’esprit…
Il donne une impression de douceur, de fraîcheur, … qui n’est pas pour me déplaire.

Point de vue écriture, je ne vais pas vous étonner en vous disant que ça se lit tout seul… On est dans un livre fait pour se détendre, pour se changer les idées, et là, c’est parfait.

Point de vue des personnages, on se retrouve face à trois personnages principaux, trois femmes: Ella, Cass et Charley… et c’est là que ça a un peu coincé pour moi… Je dois vous avouer que je ne suis pas fan du tout des romans où l’on suit ainsi trois histoires de front… Alors oui, ce sont trois amies, elles se connaîssent, ça reste dans le même cadre… bref, ça m’a bloquée, même si j’ai aimé la lecture, l’histoire, tout ça, je n’ai pas été super emballée à cause de ça…
Certains aiment ça, car cela donne la possibilité à chacun de se retrouver dans l’un des personnages, et à raison, mais l’ennui, c’est que du coup on a trois « intrigues », trois histoires différentes, et ça… non, ça ne l’a pas fait… jongler d’une histoire à l’autre, c’est une chose que je n’aime pas vraiment…

Sinon, point de vue personnages, c’est celui de Cass que j’ai préféré. Au début, j’ai eu beaucoup de peine pour cette mère de famille, et immédiatement, je l’ai prise un peu en pitié.. Ah, les histoires d’ex, ce n’est jamais facile, surtout avec des enfants qui ont une vision toute différente des choses…

Sinon, toutes les trois ont des caractères bien différents et bien affirmés, ce qui est plaisant… on a toujours l’impression, ce magnifique préjugé, que les romans Harlequin ne sont pas travaillés, mais là, les personnages le sont, ils sont agréables, ont une histoire, un vécu et un caractère bien mis en avant dans le roman.

Des thèmes comme l’amitié, la famille, et bien sûr les ex sont à l’ordre du jour dans ce livre, avec son lot de déceptions, de belles surprises et de moments touchants.

Bref, un livre léger que je vous conseille pour cette période des fêtes qui approche… si le fait de suivre les 3 histoires en même temps ne vous gène pas… car en dehors de ça, il est bien agréable 🙂

 chroniques à lire

 

L’ombre du mystère de Nora Roberts

Editions Harlequin (Mosaïc)
456 pages | Traduit par Diane Lejeune – Jeanne Deschamp

Sortie : 28 Août 2014

Mots clés: mystère, amour, trahison

Première partie :
En s’installant à Morganville, dans le Maryland, Maggie Fitzgerald pense avoir trouvé le havre de paix dont elle rêve. Aussi est-elle sous le choc quand des travaux dans son jardin mettent au jour le cadavre de l’ancien propriétaire des lieux, mystérieusement disparu dix ans plus tôt. Déstabilisée, Maggie se résout à plonger dans un passé trouble et violent. Un passé qui pourrait la mettre elle aussi en danger, comme semble le penser Cliff Delaney, l’architecte paysagiste qui a découvert le corps – un homme aussi mystérieux qu’envoûtant qui lui propose son aide pour découvrir la vérité. Mais peut-elle lui faire confiance, alors qu’il garde un silence obstiné sur les secrets des habitants de Morganville, et sur sa propre vie ?
Seconde partie :
Séjourner au château des Fairchild, c’est pour Adam Haines le moyen de mener une enquête discrète sur le maître des lieux, un peintre célèbre soupçonné d’être un faussaire. Mais en aucun cas il ne s’attendait à tomber sous le charme de la fille du peintre, Kirby, une artiste talentueuse, belle et flamboyante… Très vite, Adam se retrouve dans une situation impossible : non seulement à cause des indices inquiétants qui incriminent Philip Fairchild, son hôte, mais aussi parce que l’aventure sans lendemain qu’il imaginait avec Kirby se transforme rapidement en une véritable passion. Une passion qui pourrait bien compromettre son enquête et attirer sur lui le souffle du danger…

Ma note

4 sur 5

 

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avis 5 Ahh Nora Roberts… je dois vous dire que je ne savais plus si j’avais déjà lu un de ses livres, je pense que oui, mais là comme ça, ma mémoire me fait défaut. Alors oui, comme tout le monde, j’en ai déjà entendu parler, notamment pour ses nombreux romans de douce romande, mais là, j’ai eu plaisir à la découvrir dans un autre registre.

Dans ce livre, on trouvait deux histoires qui n’ont rien à voir l’une avec l’autre, mais qui finalement, ont la même particularité : celle de m’avoir plu au plus haut point…

Pour la première, Maggie, le personnage central, est un coup de cœur. J’ai adoré cette femme sure d’elle, qui tient tête, sait ce qu’elle veut et va au bout de ses idées. J’ai aimé m’identifier à elle et rêver à ce genre de vie… le squelette en moins, bien évidemment. Je suis fan de frissons, mais j’ai mes limites malgré tout.
Mais je dois reconnaître que les descriptions des lieux que l’auteure nous fait a su me ravir, et que cela fait rêvé, ce genre de lieux…

Pour l’écriture, rien à dire, elle est parfaite… ça se lit bien, on entre dans l’histoire sans trop de difficultés, et Nora Roberts sait nous tenir en alerte.

La tension monte petit à petit, le dénouement est parfaitement au point, juste excellent. Certes, il était un peu prévisible, mais vu le bon moment passé avec l’histoire, cela passe sans problème.

Dans la seconde histoire, on y fait la connaissance de Kirby, qui je dois dire m’a beaucoup moins touchée. Elle a un caractère assez particulier, et je n’y ai pas forcément attaché. Je l’ai trouvée à la limite exaspérante…

Il y a quelques coup d’éclats, quelques rebondissements, mais c’était bien moins attractif que dans la première histoire, c’est dommage. De plus, j’ai trouvé ici que l’évolution des sentiments et des relations étaient beaucoup trop à la va vite, dans cette histoire plus que dans la première.

Je me dis que le fait que ce soit centré sur le milieu de l’art m’a peut-être éloignée un peu aussi de l’histoire, je ne sais pas, je n’ai pas trop accroché. Pourtant, là aussi, les descriptions étaient fantastiques, en fermant les yeux, on pouvait sans peine se représenter les œuvres. J’aime les auteurs qui ont ce sens aigu de la description sans pour autant en faire quelque chose de lourd, de lassant, et qui vient ralentir le récit.

Bref, un bon moment lecture passé avec ces deux histoires, un peu plus avec la première, mais agréable malgré tout avec la seconde aussi.

 

 chroniques à lire

La disparue d’Amsterdam de Antoinette van Heugten

Editions Harlequin
La fiche chez l’éditeur
368 pages – Sortie : 2 Juin 2014

Prix: en papier : 13.90€ – en ebook : 9.99 €

Alors qu’elle rentre chez elle après une journée de travail, le Dr Nora de Jong, spécialiste de chirurgie pédiatrique à Houston, découvre, horrifiée, que sa mère est morte assassinée, et que sa fille Rose, un bébé de six mois, a disparu. En état de choc, hantée par une angoisse folle, elle est dès lors obsédée par les mêmes questions : qui a tué sa mère ? Et surtout, surtout, où se trouve sa fille ? Très vite, Nora comprend que l’enlèvement de sa petite Rose est inextricablement lié à l’histoire de sa famille, une histoire sombre et complexe dont elle ignorait tout jusqu’à présent. Pour retrouver sa fille, elle va devoir se rendre à Amsterdam, où tout s’est autrefois passé. Là, il lui faudra à tout prix percer de tragiques secrets cachés depuis des décennies…

Ma note

4 sur 5

 

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avis 5J’avais déjà eu la chance de lire un livre de cette auteure, et je dois dire qu’il m’avait beaucoup plu. Du coup, quand j’ai eu l’opportunité de découvrir « La disparue d’Amsterdam », je n’ai pas hésité une seule seconde…

Et j’ai bien fait…

L’écriture est toute aussi agréable, elle coule de source, et fait qu’on a juste l’impression d’assister aux événements, de partager les sensations, les émotions et les ressentis des protagonistes, et c’est ce que j’aime.

L’histoire commence en force, on est directement dans l’action, dans le suspense, dans l’expectative, et on ne lâche rien jusqu’à la fin… C’est juste prenant, envoûtant, et j’ai adoré. On est dans un roman fort, on est dans une histoire passionnante et qui fait remonter tant des sujets « secrets de famille » que des sujets plus sensibles tels que le nazisme…

Les pages se tournent les unes après les autres, je n’ai pas pu lutter contre l’envie de savoir la suite…

J’ai vite pris Nora en affection… que ce soit par son caractère, son histoire, ses réactions…. c’est un personnage que j’ai énormément apprécié…
On en apprend beaucoup aussi sur sa mère, puisque l’on se retrouve plongée dans son passé, et ce ne fut pas pour me déplaire.

Le livre tire plus du drame que du thriller, et tout est savamment dosé, que ce soit les sentiments, l’historique, le « dramatique », le suspense… cela fait un mélange exceptionnel, qui vaut vraiment le détour…

photoLe petit plus?

Des expressions et petits passages en Néerlandais que j’ai adoré retrouver 🙂 cela a apporter une petite touche de je ne sais quoi qui m’a encore mieux plongée dans l’atmosphère et l’ambiance du livre… on s’y croirait…

Vous l’aurez compris, si vous n’avez pas encore découvert la plume d’Antoinette Van Heugten, je vous le conseille fortement, ça mérite qu’on s’y intéresse…

 

La saveur du printemps de Emilie Richards

Editions Harlequin (Mosaïc)
537 pages – sortie : 23 avril 2014

   sur Amazon

Sur le point de recouvrer la liberté après huit mois de prison pour un vol qu’elle n’a pas commis, Cristy Haviland sait qu’elle va devoir se battre pour redonner un sens à sa vie et composer avec les blessures du passé. Mais avant toute chose, un combat périlleux l’attend : affronter l’homme qui l’a envoyée en prison et qui, aujourd’hui encore, a le pouvoir de la détruire.
Georgia Ferguson, elle, est proviseur d’un lycée dans le comté de Bunscombe. Et lorsqu’elle trouve dans son bureau un mystérieux bracelet, accompagné d’une enveloppe contenant de vieilles coupures de journaux faisant référence à sa propre histoire, elle comprend que l’opportunité qu’elle attend depuis toujours est peut-être en train de se présenter. L’opportunité excitante, mais aussi terriblement perturbante, de retrouver sa mère biologique qui l’a abandonnée à sa naissance.
Au cœur de la Caroline du Nord, dans une ravissante maison au jardin féerique, ces deux femmes que tout sépare puiseront dans leur amitié la force de prendre les décisions difficiles qui les attendent sur le chemin d’une nouvelle vie…autres éditions

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Je dois vous avouer que ce livre et sa couverture m’ont immédiatement attirée. Oui, je suis faible, mais cela semblait frais, léger, tout en douceur….
Mais une fois ouvert, le livre est bien mois léger qu’il n’y paraît, et cela n’a pas été pour me déplaire malgré tout.

On ne découvre pas ne seule histoire, mais plusieurs de front…

Celle de Cristy, une jeune femme qui vient de passer 8 mois en prison pour un vol pour lequel elle ne cesse de clamer son innocence même après sa sortie. J’ai trouvé son personnage très touchant, son estime d’elle-même a été mise à mal pendant son emprisonnement, et c’est une femme brisée que l’on découvre.

Elle a été profondément marquée par cette expérience.

Elle va être recueillie, à sa sortie, par Samantha. Une jeune femme aux ambitions humaines magnifiques qui veut vraiment aider Cristy à s’en sortir et reprendre confiance en elle. Elle sera aussi le lien entre Cristy et Georgia. Cette dernière, c’est la mère de Samantha. Proviseur d’une école, elle a une histoire très touchante également puisqu’alors qu’elle ne sait pas grand-chose sur son passé d’enfant abandonnée jusqu’à ce que ce passé lui revienne en pleine figure quand elle s’y attend le moins.

Je dois avouer que c’est surtout le personnage de Cristy qui m’a plu, son histoire et son évolution m’ont intéressée et émue. Son combat pour reprendre sa vie en main, ainsi que pour récupérer son fils, né en prison…

La plume d’Emilie Richards est toujours aussi douce, aussi agréable, aussi délicate et plaisante. Elle manie le psychologique humain et l’émotionnel comme pas deux, et c’est toujours un plaisir de la retrouver, Elle parvient à nous décrire les émotions de manière tellement réelle et véritable… On ne peut pas le nier, les sentiments et émotions qu’elle nous offre sous sa plume sonnent juste, elles sont crédibles, et c’est ce qui fait le succès de ses livres, je pense.

Et que dire du décor de ce livre… rien qu’aux descriptions qui nous en sont faites, je donnerais n’importe quoi pour partir dans ce lieu magnifique et magique, une maison au milieu de la nature, avec un parc, un petit jardin potager, le calme… le rêve..

Au final, un livre frais sous les apparences mais qui cache des destins croisés et des histoires profondes et touchantes. J’ai aimé le côté humain qui s’en dégage et vous accroche le cœur…

 chroniques à lire

 Mycoton32 – Mutinelle

 

 

Le silence de la peur de Karen Rose (2011)

Editions Harlequin (Mosaïc)
535 pages – sortie: 02 avril 2014

Cela fait sept ans que Mary Grace Winters vit sous une fausse identité à Chicago avec son fils Tom. Sept ans que, chaque matin, elle redoute que son secret ne soit dévoilé et que son mari, un policier violent qui la maltraitait avant qu’elle ne prenne la fuite avec son petit garçon, la retrouve. Malgré ses peurs, à Chicago, Mary Grace a repris goût à la vie et elle est déterminée à laisser son douloureux passé derrière elle. Au point de se laisser aller à une relation amoureuse avec son nouveau collègue, Max Hunter. Max, le seul homme en qui elle devine une blessure ancienne et profonde qui fait écho à la sienne. Pourtant, Mary Grace l’ignore encore, son passé est plus que jamais sur le point de resurgir et de faire voler en éclats la vie paisible qu’elle s’est construite. Car son mari est sur sa trace. Pas à pas, il se rapproche…

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4J’ai eu envie de lire ce livre après avoir vu la chronique de Mycoton,  car elle a su me tenter comme rarement.

Et puis, si vous me suivez depuis un moment, vous devez savoir que je suis assez  sensible / réceptive / intéressée / tentée /… (*biffez les mentions inutiles) aux histoires de femmes battues. La violence conjugale ne me laisse jamais indifférente, que ce soit IRL ou dans les romans.

On suit donc l’histoire de Mary Grace, qui a changé d’identité pour fuir son mari, et s’appelle à présent Caroline. Les émotions qu’elle peut ressentir sont vraiment très bien décrites, « on s’y croirait »… elles sont réalistes, touchantes, palpables, et m’ont serré la gorge comme jamais. C’est comme si j’y assistais…

Les chapitres font un compte à rebours qui augmente le suspense, fait monter la tension…
Au fil des pages, cela grimpe crescendo, on se demande comment cela va se terminer. Le mari de Mary Grace se rapproche, petit à petit, et on crains pour elle. va-t-il la retrouver ou pas? Que va-t-il se passer? Le style de l’auteur est vraiment percutant pour ce genre d’histoire, dont elle manie l’écriture avec brio.

Le personnage de Mary Grace/Caroline m’a beaucoup émue, que ce soit par sa force, sa détermination, son courage ou son évolution au fil des pages.
Son fils, Tom, est aussi particulièrement touchant dans le rôle de protecteur qu’il s’est donné vis-à-vis de sa mère.
Est-il besoin de vous dire que j’ai détesté l’ex mari, qui est ce genre de personnes tellement détestable qu’on a juste envie de le voir disparaître du paysage…

L’histoire est criante de vérité, tout reste cohérent, réaliste, bien amené et bien agencé. C’est ce qui fait qu’on est embarqué dans l’histoire et qu’on la suite de manière à ce que l’on puisse tout se représenter comme si on y était,  que ce soit dans un rôle ou dans l’autre. Personnellement, je n’ai eu aucun mal à m’identifier à Caroline…

Alors oui, certains diront que c’est une histoire qui n’a rien d’extraordinaire, qu’elle n’a rien d’original, que c’est du déjà vu, mais elle fait partie de celles qui me plaisent, de celles qui me touchent, de celles qui m’embarquent et me font passer une très bonne lecture.

Je vous le conseille.