[✎] Le diable s’habille en Prada

·•●oO Présentation du livre Oo●•·
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Andrea n’en revient pas : même avec ses fringues dépareillées, elle l’a décroché, ce job de rêve. La jeune femme de vingt-trois ans va enfin intégrer la rédaction de Runway, prestigieux magazine de mode new-yorkais ! Et devenir l’assistante personnelle de la rédactrice en chef, la papesse du bon goût, la dénommée Miranda Priestly. Une chance inouïe pour Andrea : des milliers d’autres filles se damneraient pour être à sa place ! Mais derrière les strass et les paillettes de cette usine à rêves se cache un enfer peuplé de talons aiguilles et de langues de vipère. Leurs raisons de vivre ? Répondre à TOUTES les angoisses existentielles de la déesse Miranda. Justement, cette dernière vient de trouver une nouvelle victime de la mode :  » An-dre-ââ « …
·•●oO Et j’en pense quoi? Oo●•·
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 J’ai entamé ce livre après avoir vu le film… et bizarrement, j’ai décidé de le lire parce je n’ai pas du tout accroché au film… 
Comment ça, je suis bizarre? Oui, c’est pas faux 😀
En fait, j’ai déjà eu plusieurs fois l’expérience de ne pas aimer un film, puis de lire le livre, que j’ai apprécié, pour finalement re-regarder le film et l’apprécier… 
Donc voilà, pour la petite histoire, comment j’en suis venue à lire ce livre… 

Le point positif de ce livre? Il est divertissant… c’est déjà pas mal… J’aurais pu tomber sur pire…
Mais par contre, il n’a rien d’exceptionnel, et je ne vois pas trop pourquoi on en a fait tout un foin tel qu’il a été fait à la sortie tant  du film que du livre…

Je ne pas vraiment une fervente du milieu de la mode, et si j’en crois ce que j’ai lu dans ce livre, je suis contente de ne pas aimer ce milieu 🙂

Point de vue du style d’écriture, comme souvent dans les livres du genre, il est facile à lire, les textes sont simples, ils ne font pas trop appel à la réflexion du lecteur, et se lit presque tout seul… Car, qu’on se le dise, il n’est pas du tout « prise de tête »…

Par contre, le côté très superficiel du milieu de la mode m’a fortement déplu… Il en est de même pour le côté froid, presque inhumain, de la chef… Non mais c’est vrai, quel plaisir trouver à « torturer » ainsi moralement les gens? Je n’y trouve rien de plaisant, et cela m’a même mis très mal à l’aise…

Finalement, ce livre, bien qu’il ne m’ait pas fait rire comme on aurait pu le supposer ou l’espérer, m’a au moins fait sourire, c’est déjà ça, non? 
Il faut lui reconnaître malgré tout qu’il est mieux que le film, ce qui est déjà un point de plus à mettre du côté positif de la balance… (il faut dire aussi que pour autant que je m’en souvienne, l’histoire du livre a fortement été retravaillée pour le film, non?)

·•●oO En bref…  Oo●•·
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 Cela ne va pas me laisser un souvenir impérissable, et cela ne m’a pas donné envie de revoir le film, finalement.. 
J’en resterai donc là pour Prada et son univers…
·•●oO autre chose?  Oo●•·
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Lu dans le cadre du challenge d’ Evy :  challenge « Chick lit »

[✎] Mes amies, mes amours, mais encore?

·•●oO Présentation du livre Oo●•·
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Dur, dur de supporter un homme passé les premiers mois et les premiers émois ! Et aux remarques en tout genre, s’ajoutent bien entendu les petites manies horripilantes, les fautes de goût navrantes, l’égoïsme permanent… Confrontées chacune à de remarquables – quoique différents – spécimens de veulerie masculine, Jeanne, Violette et Natacha, trois amies d’enfance, doivent bien reconnaître qu’à trente-cinq ans les choses ne se passent pas exactement comme dans leurs rêves. Mais contre mauvaise fortune cœur vaillant et, avec énergie et détermination, ces trois-là sont bien décidées à botter le derrière à leur destin… et à leurs hommes !
·•●oO Et j’en pense quoi? Oo●•·
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J’ai trouvé ce livre un peu « bebête »… enfin, disons qu’il n’a pas atteint mes espérances, Il en est même loin, puisque je n’ai même pas pu passer un bon moment de détente durant la lecture de celui-ci…
Je me suis ennuyée, et cet ouvrage n’était pas loin de me faire déprimer…
C’est un comble, moi qui était persuadée que la Chick-lit serait un bon moyen de me détendre et me changer les idées…
Comment le mari peut supporter une femme pareille? Et dire qu’il y a réellement des personnes comme ça, éternelles insatisfaites, pour lesquelles l’homme a beau se plier en quatre, mais pour qui rien ne va jamais…
Je n’ai pas aimé la manière d’appréhender les choses de la vie que j’ai pu voir dans ce livre… Comment peut-on ne penser qu’à soi à ce point? Et ne pas voir la chance qu’on a? Et être aussi hypocrite par-dessus le marché? Et déprimer à tout bout de champs sans se bouger plus activement et plus rapidement pour faire bouger les choses?
C’est vraiment une caricature de ce genre de femme que je ne voudrais surtout pas être et envers lesquelles je n’ai qu’une profonde exaspération…
Pour parler un peu de la qualité de l’écriture, il faut reconnaître que ce livre se lit rapidement et facilement. Des chapitre très courts, qui font s’alterner les vies « trépidantes » (humhum tout est relatif) des différents personnages…
Le manque de liens concrets entre les histoires, la brisure trop raide des chapitres et donc, une trop forte alternance des personnages m’a complètement perturbée, ou plutôt, à force, je me suis perdue dans tout ce mélo-dramatique…Bref, j’aurais mieux fait de choisir un autre livre…
Un petit extrait?Il montre bien le pessimisme qui a eu don de m’énerver tout du long de ma lecture…
« C’est un drôle de truc la maternité : on passe deux ans à leur apprendre à marcher et parler.
Et les seize années suivantes à leur dire de s’assoir et de se taire
« .
Quelle vision sinistre de la maternité…et encore, sinistre ne me semble pas un mot assez fort…
Et c’est du même acabit tout au long de ce roman…
Les déboires des vies ratées de femmes insatisfaites, ce n’est pas trop mon truc… Pour se prouver que l’on existe, il y a bien d’autres moyens que se plaindre tout le temps…
Je me suis cru en plein mélo dignes d’un magasine féminin de bas niveau…(Vous remarquerez que j’ai fait un effort pour ne pas en citer un, histoire de ne vexer personne… 😉 )
J’aime les romans où je peux un tant soit peu m’identifier au personnage, ou du moins, à un personnage du livre, mais là, rien… tant ils sont aux antipodes de mes valeurs et des attentes de la vie…. Ca explique sans doute pourquoi il me laisse une si mauvaise impression…
·•●oO En bref…  Oo●•·
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Bref, vous l’aurez compris, j’ai détesté, et ne le conseillerai à personne…Même si je ne doute pas qu’il plairait à pas mal de monde, j’ai du mal à « promouvoir » les livres qui me déplaisent à ce point…
Je me suis malgré tout forcée à le lire jusqu’au bout, puisque je l’ai commencé dans le cadre d’un challenge… mais j’avais vraiment très très hâte de voir la fin arriver…
·•●oO Autre chose?  Oo●•·
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Lu dans le cadre du challenge d’ Evy :  challenge « Chick lit »

[✎] Sang d’encre au 36

·•●oO Présentation du livre Oo●•·
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Véritable immersion au coeur du 36, quai des Orfèvres.
Une enquête en forme d’hommage à Georges Simenon où l’auteur nous mène de moments de doute en moments de tension. La Crim’ est dans tous ses états. Tous les vendredis, un tueur sévit dans les milieux culturels puis nargue par l’envoi d’un courrier les policiers du 36. Après le premier assassinat d’un conseiller d’orientation, la nouvelle victime appartient encore à l’Education nationale. L’équipe du commandant Duhamel croit tenir quelque chose.
Illusion : les victimes « sans histoire » s’accumulent et la Brigade criminelle du quai des Orfèvres s’inquiète de ne pas avoir de piste solide. Rien ne semble lier ces meurtres en série… sauf, peut-être, la passion des victimes pour les romans policiers. Une seule chose est sûre : la vérité n’est pas là où on l’attend.
·•●oO Et j’en pense quoi? Oo●•·
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Il faut reconnaître que je suis agréablement surprise par ce roman… je ne pensais pas être à ce point captivée par celui-ci…
Point de vue écriture, la fluidité du texte est étonnante… Les pages défilent, l’action de même…
On sent que l’auteur, lui-même policier et vouant une passion certaine à l’histoire, sait de quoi il parle, car tout se tient tout du long du roman… ce qui le rend très plaisant et entraîne sans peine le lecteur dans l’univers de cette enquête… là où l’auteur voulait le mener… droit au but…  Une enquête menée de main de maître, dans un style sans faux pas…
J’ai vraiment aimé les références faites à Simenon dont l’assassin fait sa signature dans les courriers qu’il adresse aux forces de police… J’ai déjà une tendance assez forte à apprécier tout ce qui traite des tueurs en série (vous commencez à le savoir), mais si on ajoute à cela de nombreuses références, … je ne peux que m’incliner 🙂
Ce que j’ai vraiment aimé, c’est que l’on rentre dans l’univers policier d’une manière vraiment très réaliste, rationnelle, qui nous fait découvrir l’envers du décor d’une façon totalement différente et bien plus intéressante que ces séries policières françaises telles que « Lescaut » ou « Commissaire Navaro »… Le réalisme faisant foi, on a vraiment l’impression d’assister à l’interrogatoire de visu, de participer activement à l’enquête, de faire partie de l’équipe, limite, et de donner une autre vision de la police que celle habituellement montrée… C’est du moins mon ressenti.
Le vocabulaire très familier, brut et « agressif » des personnages, reflète bien (je pense) le monde policier réel et « sous pression »… Je ne pensais pas qu’autant de réalisme et de pression pourrait se ressentir dans un livre… (dans les films, on a l’image, qui permet de mieux s’imprégner de l’ambiance… mais ce livre n’a rien à envier aux meilleurs thrillers cinématographiques)..
Ce que j’ai trouvé également particulier au roman, c’est qu’un personnage de l’équipe n’est pas particulièrement et exagérément mis en avant par rapport aux autres… on reste dans le travail d’équipe.
Les descriptions faites sont elles aussi très réalistes et confèrent, de ce fait, encore un peu plus de poids au roman… que du bonheur pour le lecteur…
De plus, contrairement à beaucoup de livres policiers, la fin n’est ici pas prévisible très rapidement… jusque la fin, je suis restée dans le doute, dans le suspens, dans le stress et dans la l’impatience de savoir le fin mot de l’histoire…
 
·•●oO En bref…  Oo●•·
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En me relisant, je constate que je n’ai que des louanges à dire sur ce livre… Effectivement, je ne vois aucun point négatif, rien à jeter, tout à apprécier…
Une belle réussite pour un premier roman… Qui mérite bien le prix qui lui fut décerné, à savoir Grand Prix VSD du Polar 2009.
J’ai hâte de pouvoir voir d’autres opus du même acabit débarquer sur les rayonnages des bibliothèques…  la suite est, si je ne me trompe, déjà sortie… que demander de plus?
·•●oO Merci qui?  Oo●•·
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Merci les Editions POCKET et BOB pour ce partenariat… Encore une belle occasion de découvrir un très bon livre..

[✎] La maison aux 52 portes

 Maïlys sent qu’elle devient folle.
La vieille bâtisse où sa famille vient d’emménager cache un secret. Derrière les nombreuses portes de la maison, Maïlys entend des voix, croise des silhouettes surgies du passé. Quel message tente-t-on de lui transmettre ?

 

Après une lecture assez compliquée, j’ai eu envie de me tourner vers un livre plus léger, plus amusant, et j’ai donc choisi un livre jeunesse/fantastique…
Pourquoi celui-là? Car depuis toute petite, j’ai toujours été passionnée par les histoires qui font peur, et plus j’ai grandit, et plus j’ai accru ma curiosité sur le sujet.
Ce livre amène le sujet sur un ton humoristique, terriblement bien adapté au public auquel il s’adresse. Le style est clair, simple, l’histoire est bien amenée, est accrocheuse…
Et chose qui a encore amélioré la lecture: avec l’approche de l’hiver, le ciel devient vite sombre, et lire dans la pénombre, au milieu d’une maison calme, … cela m’a permis de bien m’imprégner de l’ambiance du livre…
J’aurais franchement adoré qu’à l’école, quand j’avais 12 ou 13 ans (âge conseillé pour ce livre), on me propose ce genre de lectures.
Ce qui est agréable, avec les livres jeunesse, c’est qu’ils sont la plupart du temps (quand ils sont bien écrits), propices à l’identification au personnage principal (ou un des personnages secondaires, c’est selon), et celui-ci y est particulièrement bien adapté. Et c’est ce qui fait que même à mon âge, j’ai toujours une certaine attirance pour ces livres, lorsque j’ai juste envie d’un moment détente, pour me vider la tête…

[✎] Jessie Prichard Hunter

(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ L’histoire ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
C’était un Américain comme les autres qui rêvait de choses toutes simples : une clôture à claire-voie, une cuisine intégrée et une voiture qui fasse l’admiration des voisins.

C’était un père de famille tranquille, qui, la nuit venue, prenait sa camionnette et roulait le long des rues sombres et désertes de Manhattan à la recherche d’une jolie blonde à violer. Il lui tranchait délicatement la gorge et puis rentrait chez lui embrasser sa femme et ses enfants et regarder la télé en sirotant une bonne bière.

Qui aurait pu le soupçonner ? Qui aurait pu deviner son terrible secret ? Qui sinon, peut-être, celle qui l’avait épousé. Pour le meilleur d’abord. Puis très vite pour le pire.

(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ Mes impressions ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
Je ne savais pas à quoi m’attendre en prenant ce livre, au hasard un peu, juste parce que le titre m’a fascinée…

Je dois bien avouer que je ne regrette pas mon choix…

J’ai adoré le lire, car chaque page portait en elle le suspens suffisant pour donner envie de passer à la suivante…

L’histoire est certes un peu banale au demeurant: une famille parfaite en apparence, dans une ville des Etats Unis où des meurtres sont perpétrés par un tueur en série qui sévit au point de terroriser les femmes de la ville…. Banale histoire… Jusqu’au moment où la femme de la « famille parfaite » commence à faire le lien entre ces meurtres et son mari… L’engrenage est lancé…

Il faut bien avouer qu’à force, ce genre de livre peut facilement mener à une certaine paranoïa, se dire que, finalement, on ne connaît jamais vraiment les gens qui nous entourent…

L’histoire est bien amenée, juste ce qu’il faut de détails pour laisser l’imagination du lecteur faire le reste pour l’amener où le doute s’installe, où les questionnements s’enchaînent, …

Ce que j’ai aimé, c’est que ce livre met également l’accent sur les signes précurseurs du « danger » chez l’enfant, à savoir est ce qu’il est possible, de par certaines actions faites pendant l’enfance, de déceler certaines déviances à venir?
Page 181: « Il avait tué un chaton quand il avait neuf ans. Celui-ci s’était soumis, les yeux clos aux doigts qui le caressaient derrière les oreilles, le long de la ligne si délicate du cou. Il ronronna. Son cou frémit très légèrement sous la main: tout de nerfs et d’os. Quand il appuya avec ses doigts, le corps se tendit brusquement et les griffes s’enfoncèrent dans sa cuisse, une bouffée de chaleur lui monta jusqu’au cerveau. Il se frotta le pouce contre son index qui se rejoignaient à la base du cou tandis que, de l’autre main, il maintenait les pattes du chat pour l’empêcher de griffer. Il ne se souvenait plus de ce à quoi il pensait. »Est ce que ce genre de comportement chez l’enfant va irrémédiablement entraîner une recrudescence de la violence à l’âge adulte? Comment l’empêcher? Comment le repérer?

Bref, tout cela pour illustrer le fait que ce livre, sous une histoire qui peut sembler des plus « traditionnelle », permet de se poser pas mal de questions en tous genres, ce que j’aime dans la lecture…

Suspens, rebondissements, intrusion dans l’imaginaire morbide d’un tueur en série… voilà ce qui résume bien les mots-clés pour définir ce livre..

(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ Le début ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
« Pas un souffle de vent. Chantez un Fa en … La mineur disons, et on entendra un Ré. Chantez un Ré, et il restera suspendu dans les airs, sans écho, le temps qu’il faut pour enfoncer la lame du couteau. »

(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ Au hasard ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
Page 10: « Tour en riant silencieusement, il essuya le manche de son couteau contre la jambe de son pantalon, prenant soin de ne pas se couper. Il ne supportait pas la vue de son propre sang ».
Un peu contradictoire quand même pour un tueur en série, non??

Page 34-35: « C’est dingue ce que les hommes peuvent dire des femmes en leur présence et s’en tirer comme ça, dit Gail. Je me souviens d’un type qui a osé me sortir qu’il ne ferait jamais confiance à une femme, car il ne voyait pas comment on pouvait faire confiance à une chose qui saignait une fois par mois pendant cinq jours sans mourir. »
J’ai adoré cette réplique, ne me demandez pas pourquoi 🙂 mais elle m’a marquée 🙂

Note personnelle: 17/20

[✎] L’Historienne et Drakula

(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ L’histoire ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
1972. Dans une maison cossue d’Amsterdam, une adolescente se saisit, dans la bibliothèque de son père, d’un gros livre relié d’où dépassent des feuillets jaunis. Des lettres. Elle a la curiosité d’en déplier une. Voilà comment la jeune fille entre dans une énigme surgie du passé qui a endeuillé la jeunesse de son père, et à cause de laquelle son grand ami, le fameux professeur d’histoire Bartholomew Rossi, a perdu sa réputation, sa santé mentale, et sans doute sa vie : Vlad III de Valachie, dit Drakula, est-il mort ou… L’immortalité n’existe pas, n’est-ce pas ?

(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ Mes impressions ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
J’ai beaucoup aimé ce roman! (2 tomes).

Il se lit de manière fluide, naturelle, et on ressent bien les nombreuses recherches qu’à dû faire l’auteure pour l’écrire…

Pourtant, le début fut laborieux… le suspens était malgré tout peu présent, il met du temps à trouver sa place..
 
Une chose est certaine : si vous n’avez pas la patience et la passion pour les longues descriptions interminables, ce livre n’est pas pour vous… Car pour réussir à aider le lecteur à se plonger dans le livre, dans le sujet, l’auteur ne tarit pas de détails tout au long de ce roman qui  fait quand même la bagatelle de 800 pages (pour les deux volumes)… On ressent bien les recherches qui ont été effectuées tout au long de la longue écriture de ce roman…
 
Ce qui m’a bluffé, c’est qu’on finit par se demander si c’est imaginaire, ou si l’histoire est auto-biographique…
 
Un très bon moment de frisson, de passion, d’histoire et de questionnement… Le mystère y plane, et je pense que ce livre fait plus office de documentaire que de roman à proprement parler…
 
Un très bon moment lecture malgré tout.

Certes, beaucoup de faits avérés et donc réels sont évoqués dans le livre, il y a de nombreuses choses qui apparaissent totalement fictives…

On reste donc bien dans le roman, avec des rebondissements, du fantastique, de la romance insinuée…

Pour condenser mon avis : dense, documenté, instructif, … en un mot, passionnant.

Note personnelle: 17/20