Alors qu’elle traque le Tueur des Campings, le pire psychopathe ayant jamais sévi au Canada, le sergent Sandy McBride apprend que son père n’est peut être pas l’assassin de sa mère… Se pourrait-il, quelque trente ans après les faits, qu’elle apprenne enfin la vérité ?
Sandy est le personnage central de cette nouvelle inédite, où l’on retrouve les différents protagonistes de Il coule aussi dans tes veines, le deuxième roman de Chevy Stevens, l’auteure du best-seller Séquestrée.
Vérité posthume, de Chevy Stevens
Editions L’Archipel, livre numérique – Sortie le 5 janvier 2015
Sur Amazon
au format ebook pour 1.99€


Je n’avais encore jamais lu de livre de Chevy Stevens, mais je dois dire que cela me tentait depuis pas mal de temps…
Du coup quand j’ai vu qu’il y avait une nouvelle de lui qui était disponible, j’ai sauté sur l’occasion en me disant que si cela ne me plaisait pas, ce serait pénible moins longtemps (oui, je sais, j’ai l’esprit pratique, quand même :p)
Point de vue de la narration, j’étais aux anges: une narration à la première personne, j’aime ça, c’est mon style narratif préféré, et je n’ai donc pas eu de mal à entrer dans l’univers du roman, de ce fait…
Par contre, il y a un soucis : cette nouvelle n’est pas à lire « seule », ou plutôt, n’est pas à lire en premier… En effet, il y a de grandes références à deux autres titres, Il coule aussi dans tes veines et Des yeux dans nuit. Du coup, je comme je ne les ai pas lus, je me sentie un peu hors de propos, car je ne « comprenais » pas les références, ou du moins ne pouvais pas en profiter pleinement… c’est dommage, car cela gâche tout, cette nouvelle faisant le point sur ces deux autres romans et amenant une fin à l’un des « mystères » présents dans ceux-ci.
Donc même si en découvrant le style de l’auteur, mission accomplie, ça m’a bien donné envie de découvrir les autres ouvrages de l’auteur, mais pour le coup, ça me gâche un peu la lecture des romans avec des éléments dévoilés, et je n’ai pas profité de la nouvelle pleinement…
Je vous le conseille APRES la lecture des romans, et il est à noter aussi que cette nouvelle n’est disponible qu’en numérique…
Au final, mon avis général…
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Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:



Réveillée tard le matin de Noël, Holly se voit assaillie par un sentiment d’angoisse inexplicable. Rien n’est plus comme avant. Le blizzards s’est levé, les invités se décommandent pour le déjeuner traditionnel. Holly se retrouve seule avec sa fille Tatiana, habituellement affectueuse, mais dont le comportement se révèle de plus en plus étrange et inquiétant…

Ophélie, Arthur, Hugues et Alix viennent tous d’horizons différents. Leur seul point commun : ils rêvent de travailler chez Pyxis, entreprise spécialisée dans l’édition de mangas et de jeux vidéo, pilier dans le secteur de l’industrie créative.




Cela fait pas mal de temps que j’ai ce livre dans ma PAL, et allez savoir pourquoi, pas moyen que je me décide à l’en sortir… Je devais le faire en lecture commune, cet été si mes souvenirs sont bons, et finalement, ça ne s’et pas fait non plus… puis zou, je me suis enfin décidée à l’en sortir car j’avais envie d’un livre « reposant », sans prise de tête…
Le Kingdom Hospital du Maine est la proie d’étranges phénomènes.
En effet, en 2004 (si mes souvenirs sont bons) Stephen King a réalisé une série télé appelée Kingdom Hospital, et ce livre raconterait l’histoire d’une infirmière qui y aurait travaillé…
(A noter malgré tout que Kingdom hospital est basé sur la série danoise L’hopital et ses fantômes… donc rien de novateur de la part de Stephen King…)

Elles se sont éveillées à l’origine du monde, elles ont inquiété les esprits pendant des siècles, elles fascinent encore aujourd’hui. Issues d’un imaginaire immémorial – ou peut-être de la réalité -, elles sont entrées en littérature, muses privilégiées de tant d’écrivains. Faisant fi de la raison, balayant d’un seul geste les certitudes les plus inébranlables,

L’enterrement est un moment fort, solennel, unique… Mais le dernier hommage à un proche peut parfois devenir culte ! Les cérémonies sont souvent le théâtre événements étonnants, tantôt drôles, tantôt extravagants, mais toujours originaux. Entre rire et larmes, l’auteur nous ouvre les portes d’une profession qui préfère généralement le secret aux révélations. Cet ouvrage garanti « 100% vécu » vous permet de découvrir avec bienveillance ces histoires inimaginables aux scénarios improbables… Et pourtant tout est vrai !


Malencontreusement renversée par une Mini Cooper alors qu’elle promenait sa chienne, Alexandra Dorenfield, 29 ans, se réveille au paradis. Et découvre, ébahie, qu’on y exauce tous ses vœux : elle a le droit d’emménager dans la maison de ses rêves, dispose d’un dressing de folie, et peut se gaver honteusement de gâteaux et de chocolat sans prendre l’ombre d’un microgramme… Pas de doute, elle se trouve à l’étage VIP du paradis. Et comme la perfection est bien de ce monde céleste, son nouveau voisin, Adam, est à tomber. Mais voilà, pour rester au paradis version septième ciel, il y a une condition. Prouver qu’on le mérite. Faire le récit des dix plus beaux jours de sa vie sur Terre. Si Alexandra échoue à cet examen, elle dégringolera de plusieurs étages… Adieu dressing, amour et chocolat ! Autant dire l’enfer.
C’est au XVIe siècle, l’Ère des Grands Navigateurs, que s’ouvre le récit d’Esteban, celui qu’on nomme à Barcelone “L’Enfant du Soleil”. Sous l’impulsion de Mendoza, navigateur et aventurier qui dit l’avoir sauvé d’un naufrage il y a dix ans, Esteban quitte l’Espagne à bord de l’Esperanza en direction du Nouveau Monde. Aux dires de cet adulte espagnol difficile à cerner, l’étrange médaillon doré qu’Esteban porte autour du cou depuis tout petit provient d’une énigmatique cité pavée d’or qui fut bâtie quelque part, sur le nouveau continent. Le jeune orphelin, lui, voit ce voyage comme la chance unique de retrouver la trace de son père disparu. Dans son périple, Esteban fera la rencontre de Zia, représen¬tante du peuple Inca qui porte le même médaillon d’or que lui, ainsi que de Tao, dernier survivant du mythique peuple de Mu…
Je ne sais pas si vous connaissez l’application 






