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La douleur causée par certaines blessures morale est souvent plustenace que celle causée par les blessures physiques, car elles sontsouvent plus ancrées en nous…
Le pardon, quant à lui, aide à aller de l’avant, mais n’est pas toujours évident à faire.
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Une histoire profonde, émouvante, qui touche là où cela fait mal: en plein cœur.
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« Irène est une adolescente blessée par la rigidité d’une éducationstricte. De sa relation avec sa mère naît un mélange de haine,d’incompréhension, de compassion et d’amour. Et quand elle croit neplus pouvoir atteindre le bout du tunnel, c’est souvent à travers deterribles épreuves que tout renaît. Seul, on n’est rien, on a besoindes autres pour exister car tout part de l’amour et tout nous ramène àl’amour.«
J’ai franchement adoré la lecture de ce livre…
L’œuvre est ponctuée de poèmes écris de la main de l’auteure, tout aulong de sa vie… ce qui rend ce livre encore plus authentique, encoreplus touchant…
De plus, cela amène une touche de fraîcheur, très agréable à la lecture…
Les dialogues sont dotés des répliques des parents en langue maternelle(traduites, bien entendu), c’est très dépaysant, et pour être honnête,personnellement, cela m’a donné encore plus l’occasion de m’y voir, deme plonger d’avantage dans l’univers privé, intime, de la narration…C’est se sentir d’avantage concerné par le récit que l’on est en trainde lire.
Il est difficile de parler de ce livre sans trop en dire… alors que lafin m’a touchée d’avantage, je ne peux malheureusement pas vous enparler.
Je garde cependant un excellent souvenir de ma lecture, au travers d’unrécit troublant, émouvant, bouleversant… il me laisse dans le cœur unsentiment de tristesse et d’injustice… car personne ne devrait vivrepareilles douleurs venant de sa mère…
Merci au site « les agents littéraires » et à Claire Pascalin de m’avoirpermis de partager ce récit de vie en m’offrant la possibilité de lirece livre.
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Un très bon roman, dans un style à la fois simple etsinueux, avec un gros zeste de psychologie …pour le plus grand plaisir desamateurs de bons thrillers…
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L’histoire:
Livre lu en partenariat avec Babélio.
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Un livrebeaucoup trop long… au moins 200 pages sont, pour moi, de trop dans ce roman…qui commence réellement, selon moi, dans la troisième partie, soit vers la page280…
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Mon avis?
Ahhh j’ai cru quela chronique de ce livre n’allait jamais voir le jour…
Le fond du livre est très intéressant…La forme et le format du livre ont quelque peu gâché ma lecture…Le thème du livre est très enrichissant, … Quel dommage qu’il n’en ait pas été de même pour la découverte de ce nouveau format de livres…
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Parcontre, je dois reconnaître que la couverture est incroyablement belle,apaisante, zen… je l’adore…
Bref, un avis en demi teinte, avec un livre au fond intéressant mais à la forme qui gâche un peu le plaisir de la lecture…
Si je devais vous donnez un conseil, lisez-le dans une autre édition…
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Ce n’est pas un coup de cœur carun peu trop « jeunesse » par rapport à mes attentes, mais un livrevraiment génial malgré tout!
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![]() J’ai adoré… un gros coup de coeur…
Un concept original, des vidéos super qui ajoutent un côté angoissant, je suis sous le charme 🙂 |
Il y avait un petit temps déjà que j’avais ce livre sur ma « bibliothèque des livres à lire », mais bien que l’envie de m’y mettre y soit, je ne sais pas pourquoi, je ne m’étais jamais lancée…

Qu’est-ce qu’une blonde qui se teint en brune ?
Une intelligence artificielle
Stéréotypes et fantasmes se mêlent pouraboutir à la conclusion suivante : les hommes préfèrent les blondes !
![]() Je suis fan :)Il n’y a pas à dire, je prends vraiment un plaisir fou à lire cette BD 🙂 |
![]() Loin d’être un coup de coeur, ce livre est malgré tout un excellent divertissement et se laisse lire facilement. A découvrir.
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Ce livre fait partie de ces sagas dont on attend le tome 3 avec une impatience non dissimulée… Un véritable coup de cœur.
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« Les Policastro, originaires de Calabre, décident de fuir un quotidien économique difficile. Exit la terre sèche, la mer, la chaleur du climat méditerranéen… les parents et leurs cinq enfants émigrent à Chambéry dans les années soixante. Ils s’installent dans le quartier italien, où résonnent les dialectes calabrais et napolitain, et où on hume à toute heure les parfums du parmesan et de la sauce tomate mijotant sur le feu. Le narrateur se rappelle avec émotion l’intégration des membres de la famille, l’apprentissage de la langue française, l’école républicaine et laïque, les rencontres avec les autochtones. Mais l’attachement à la Calabre reste toujours présent et le narrateur, adulte, part redécouvrir ses origines.«
Bien qu’il soit rare que je lise ce genre de livres, je ne sais pas pourquoi, c’est impossible à expliquer, mais je me suis sentie attirée par cette histoire, intriguée et curieuse d’en savoir plus.
A peine le livre reçu, j’ai mis de côté ma lecture du moment pour pouvoir commencer celui-ci… et je ne l’ai en rien regretté.
La première phrase du livre est déjà, à elle seule, une merveille qui m’a touchée: « Un peu partout dans le monde, le combat au quotidien, pour subsister dignement et honnêtement, commande aux plus courageux, inconscients ou désespérés, de sacrifier leur famille et de quitter leur terre contre la promesse d’un avenir fantasmé, issu de leurs rêves les plus fous.«
C’est tellement vrai… et c’est dit d’une manière tellement simple et pourtant si touchante…
La vie telle qu’elle est vécue par un émigré n’est pas chose aisée… « Émigré : ce nom raisonne comme celui d’un condamné coupable d’un crime qu’il n’a pas commis, un crime dont tout le monde l’accable tant sur sa terre d’origine que sur sa terre d’accueil. » (page 10)
Et la perspective de suivre le combat quotidien de l’un de ces « aventuriers de la vie » parti à la conquête de son rêve promettait déjà une lecture chargée en émotions.
Tristesse, douleur, espoir, humiliation, souvenirs, … le tout s’emmêle dans ce périple pour l’intégration et l’acception…
L’auteur nous raconte cette histoire avec une apparente facilité déconcertante… et le récit se lit tel un journal intime qui aurait été abandonné sur le quai d’une gare en cours de voyage: même si le lecteur a l’impression de s’immiscer de manière impudique dans la vie de la personne qui a fait couler l’encre de son coeur pour livrer sa vie sur les pages d’un livre, l’envie d’en savoir plus est plus forte que tout… On se sent alors un peu « voyeur », mais on ne peut lutter contre.
Le style d’écriture de l’auteur n’y est sans doute pas pour rien… Des phrases pleines de sincérité, de force… Les pages se tournent les unes après les autres pour toujours plus de plaisir pour le lecteur de par les découvertes faites. Pas de tournures de phrases fioriturées, pas de blabla inutile… juste l’essentiel.
Dès le début du livre, pour bien imprégner le lecteur de l’ambiance, l’auteur ne lésine pas sur les détails… comme par exemple quand il explique le calvaire de fin de vie du grand-père, souffrant dans d’atroces circonstances physiques et morales. Certes, cela rend certains passages difficiles à lire, surtout quand, comme moi, on a un « petit coeur sensible »… Mais ce qui est bien, c’est que malgré tout, ces détails ne sont pas « de trop »… ils ne sont pas là pour combler le vide des pages comme cela peut parfois être le cas dans certains livres, mais au contraire, ils sont réellement attachés au récit et servent bien le passage des émotions ressenties.
Les mots couchés sur le papier nous sont livrés avec une telle force, une telle émotion…
Tout comme le narrateur, j’ai eu le coeur serré au moment des préparatifs, du départ… j’avais un peu l’impression que j’allais, à mon tour, tout laisser derrière moi pour un « ailleurs meilleur ».
Le livre nous permet, le temps d’une lecture, de nous mettre à la place de ces personnes qui quittent tout dans l’espoir d’un avenir meilleur, mais qui malgré tout partent sans savoir réellement ce qui les attend… le challenge est risqué pour eux, et le courage qui est le leur est tellement honorable…
« Mes parents avaient fait le choix de recommencer leur existence et ne se doutaient pas que celle-ci serait placée sous le signe d’une telle précarité. Une précarité qu’ils avaient déjà connue mais dépassée depuis longtemps déjà, malgré la pauvreté de notre Calabre.
Je ne voyais pas pour l’instant comment trouver ce mystérieux trésor dans ce gourbi sombre et sale, qui sentait la misère à plein nez, que nous avions échangé contre une vie somme toute digne, sous la chaleur et la clarté d’un soleil toujours plus radieux. » (page 65)
On entre aussi au coeur des traditions, telles que celle qui a donné son titre au roman… « le coeur d’hirondelle », sacrifice obligatoire pour s’assurer la bonne fortune. Une autre tradition qui nous est livrée à coeur ouvert est celle du cochon de la famille, tué peu avant Noël.
Au travers de ces pages, l’auteur permet de faire changer le regard que l’on peut avoir (que certains peuvent avoir) sur les émigrés, sur leurs réelles motivations, sur leurs difficultés rencontrées durant cette quête du meilleur… Car oui, ils viennent pour un mieux, mais doivent affronter tellement de galères et surmonter tellement de doutes pour y arriver… Et surtout, laisser derrière eux ce qui leur reste de famille… ce qui est aussi un sacrifice en soi, et pas des moindres.
Dans sa présentation du livre, l’auteur dit ceci: « Ce livre a pour but de faire toucher du doigt les dilemmes intérieurs de celui qui grandit et vit loin de sa terre et ses racines, nous dit-il. Les souvenirs les plus anciens de mon enfance reprennent vie et agissent comme des marqueurs génétiques identitaires, forts et indélébiles. »
En ce qui me concerne, l’objectif est atteint. Ce livre, plein d’authenticité, d’espoir, de doutes, de découvertes, est un véritable cheminement qui emporte le lecteur dans un périple profond.
Lu d’une traite, car impossible pour moi d’interrompre ma lecture en cours de route, ce livre, une fois fermé, m’a laissé tellement de questions en tête, des questions personnelles, intimes, telles que « est-ce que j’aurais eu ce courage? »… Cet ouvrage permet aussi de se remettre en question, de voir certaines choses d’un autre oeil, et laisse une trace bien après sa lecture terminée.
Ma note: 4/5
Un tout grand merci à l’auteur et au site « Les agents littéraires » pour cette découverte, et pour la confiance qu’ils m’ont accordée.
C’est peut-être mon état d’esprit du moment, je ne sais pas… ou alors je suis vraiment saoulée des histoires de vampires, et je dois vraiment éviter d’en ouvrir un livre ou d’en mettre un DVD 🙂
Merci Nodreytiti qui organise le challenge « regarde ce que tu lis »