Summer Nights, tome 1: Le prix à payer de Celia Heinrich

Summer Fawkes est une lycéenne sans histoire, ou presque. Elle est sujette à de violents troubles du sommeil : terreurs nocturnes, cauchemars. Et lorsque ses parents quittent la ville pour soigner sa grand-mère malade, son plus mauvais rêve se réalise. Summer se réveille enterrée vivante.
Cauchemar ou réalité ? Summer ne sait plus que penser. D’autant qu’outre une perte de mémoire, elle commence à ressentir d’étranges symptômes…

Summer Nights, tome 1: Le prix à payer , de Celia Heinrich
Auto-édition, 9 Août 2014, livre numérique.
sur Amazon au format Kindle, 2.99€

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avis 5J’ai eu le plaisir de découvrir ce livre via les partenariats Livraddict, et e dois bien vous avouer que sans ça, je ne suis pas certaine que je me serais dirigée vers lui… (c’est ce que j’aime avec les partenariats, la possibilité de découvrir des choses qui sortent de nos sentiers battus)

Ma première impression avec ce roman, ce fut que l’écriture est simple, facile et agréable à lire… Une histoire où on entre directement dans le vif du sujet avec une jeune fille – Summer – enterrée vivante…

Mais… tout n’est pas si simple, … Bon, je ne vais pas vous spoiler en vous disant que finalement, Summer se découvre être devenue une vampire… (on l’apprend dès le début du livre)
Et c’est là que pour moi, le bât blesse: j’ai trouvé que l’idée d’être un vampire, et de l’accepter également, lui vient bien trop vite en tête et que c’est vraiment trop rapide pour moi… genre c’est expédié en moins de cinq minutes, quoi… non franchement c’est dommage… J’aurai aimé que cela tire un peu plus en longueur, qu’elle voient d’autres hypothèses plus exploitées, je ne sais pas, moi… Même dans Twilight, ce n’est pas aussi rapide… (oui, excusez ma référence, on est le 1er janvier quand j’écris cette chronique, et la nuit a été courte)

Summer, c’est une fille qui au final, m’a énervée… oui oui, mais c’est pas dramatique, hein, on peut aimer un roman en ayant malgré tout une héroïne qui tape sur le système 🙂 ce fut le cas ici…. Je ne sais pas vous dire exactement ce qui m’a déplu chez elle, mais entre nous, ça ne l’a pas fait…
Heureusement, d’autres personnages sont venus me rendre la lecture plus agréable 🙂

J’ai aimé certaines références dans le livre, notamment celle à Culture Club avec la chanson Do you really want to hurt me… Que voulez vous, ça me rappelle mon adolescence et mon amour pour la musique… (d’ailleurs, il n’y a pas de raison que je sois la seule à l’avoir en tête, je vous la mets en fin de chronique 😀)

Sinon, plus sérieusement…
Je n’avais pas vu (honte à moi) que c’était un roman de bit-lit quand j’ai postulé pour ce partenariat… je m’attendais, au vu du résumé, à un roman axé fantômes, esprits, un peu à la Charley Davidson, quoi… (vous avez vu, en cours de chronique, je m’améliore quand même point de vue de mes références et comparaisons…). Je ne m’attendais donc pas du tout à cela… mais au final, même si je ne suis pas trop bit-lit, ça s’est bien passé comparé à d’autres livres du genre… (ouf)

Un gros point positif pour moi, c’est l’alternance des points de vue et des narrateurs… ça donne une vision plus globale et j’aime ça.

Par contre, j’aime un peu moins le côté « plusieurs intrigues menées de front« , mais ça, ce n’est pas propre à ce roman, vous le savez, c’est général chez moi… mais ça mérite d’être souligné… (ou pas)

J’aurai plaisir à découvrir la suite si j’en ai la possibilité…

Au final, mon avis général…

Un livre agréable, si vous aimez la bit-lit simple…

4 sur 5

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

part livraddict

 

Pour que tu n’oublies pas de Karen Rose

2014
Editions Harlequin (Mosaïc)
617 pages | Traduit par Françoise Nagel
Sortie : 1 Octobre 2014

Genre: thriller
Mots clé: enfant, enlèvement, vengeance, passé

Quand elle apprend que son fils de vingt ans a été enlevé, Daphné Montgomery, folle d’angoisse, pense aussitôt à une vengeance orchestrée par le criminel qu’en sa qualité de procureur de Baltimore elle vient de faire inculper pour meurtre. Une conviction qu’est loin de partager Joseph Carter, l’agent spécial du FBI chargé de l’enquête. Aux yeux de celui-ci, cette piste est trop simple, trop évidente. Tous deux se lancent alors dans une enquête complexe, terrifiante. Pour Daphné, il s’agit de sauver son fils, tout en faisant face aux souvenirs oppressants de l’enlèvement dont elle a elle-même été victime, enfant. Un traumatisme violent qui, elle le comprend peu à peu, pourrait être lié aux événements d’aujourd’hui. Se peut-il que son ravisseur d’autrefois, qu’on n’a jamais arrêté, soit mêlé à l’enlèvement de son fils ? Se peut-il qu’après toutes ces années il ait décidé de s’attaquer de nouveau à elle, à sa famille ? Aidée de Joseph Carter, cet homme qui l’attire depuis longtemps mais qu’elle se refuse à aimer, Daphné va devoir plonger dans le plus sombre des cauchemars pour trouver les réponses à ses questions.

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

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Ma note

5 sur 5

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avis 3Est il besoin de vous rappeler que Karen Rose est à mes yeux une des auteurs phare de la collection Harlequin Mosaïc qui me ravit… ? C’est pourquoi je n’ai pas hésité une seule seconde à la vue de ce roman et de sa couverture plus qu’engageante …

Même si ce livre n’est pas un coup de cœur, j’en ai beaucoup apprécié la lecture. J’ai retrouvé avec grand plaisir la plume fluide, naturelle et tellement agréable de l’auteur, …

Ce qui est un peu « amusant» avec ses livres, c’est que d’un livre à l’autre, on retrouve certains personnages, et parfois, je mets un peu de temps à me dire « mais où je l’ai déjà rencontré, celui là ? ». Mais quoi qu’il en soit, comme les livres ne font pas une série à proprement parler, si vous n’avez pas encore lu d’autres livres de l’auteur, ça ne gênera en rien votre lecture, promis !

Le fait d’avoir plusieurs narrateurs au final, ça met encore un coup de pression… Mais l’alternance des points de vue, vous savez, ça me plait…

On suit l’histoire principalement « de la tête du méchant », histoire de bien s’imprégner de ses ressentis et de vivre les choses à travers ce côté obscure de la force pour encore plus de psychose et de suspense…  et ce que j’aime avec les livres de Karen Rose, c’est que même si on est persuadés, dès le départ, d’avoir compris, de tout savoir, eh bien non.. « Méfiez vous des apparences »… Car il faut le reconnaître, elle a un don pour nous perdre, nous faire douter de tout, et ce sans même que l’on ne s’en rende compte sur le moment… tout paraît tellement logique, tellement évident… Sauf que ce n’est finalement pas si simple, et c’est ce qui fait la richesse de sa plume.

Point de vue des personnages, sinon, j’ai aimé le fait de ne pas les voir qu’acteurs de l’action, mais bien présents et bien présentés… on apprend leur histoire, leur passé, leur personnalité… on apprend à les connaître… « c’est fin, ça se mange sans faim »… bref, que du bonheur à lire… (si on aime avoir l’impression qu’on connaît mieux ses personnages que nos propres voisins, bien entendu…)

Ne vous laissez pas surprendre (ou effrayer) par la brique que représente ce roman, car franchement, ça glisse tout seul, ça se lit hyper facilement car il n’y a pas de passages lourds et inutiles (à part peut-être un peu à la fin, histoire de faire durer le suspense…), les rebondissements sont là pour rythmer l’histoire et vous trouverez même un peu d’humour (pas de franche rigolade, soyons sérieux quand même) pour détendre un peu l’atmosphère avant de vous remettre un coup de stress.

Je l’ai lu en plus ou moins une semaine, à raison de deux/trois  heures par jour, à peu près…

Si je résume : une plume géniale, des personnages intéressants et aboutis, une intrigue rondement menée et cohérente…  FONCEZ… 

Bonne journée les petits loups…

Un hiver de glace de Daniel Woodrell

2007
Editions Rivages (Thriller)
192 pages | Traduit par Frank Reichert

Genre: Thriller
Mots clé: famille, hiver, disparition,

Jessup Dolly s’est éloigné au volant de sa Capri bleue sur la route creusée d’ornières en abandonnant à leur sort ses trois enfants et une épouse qui n’a plus toute sa tête. II a promis de revenir avec un sac bourré de billets. Or Jessup n’est jamais revenu. Dans la maison isolée, les placards sont vides et il fait froid. Ree, l’aînée âgée de seize ans, veille comme elle le peut sur le reste de la famille. Elle ne tarde pas à apprendre que son père a bénéficié d’une mise en liberté conditionnelle moyennant une hypothèque sur sa maison et ses terres. S’il ne se présente pas au tribunal le jour du jugement, les Dolly seront sans toit, au coeur de l’hiver. Alors, telle une héroïne de Dickens, Ree prend la route et affronte la neige, la nuit, le froid, et surtout l’hostilité des autres membres du clan Dolly qui n’aiment pas les questions. En quête de son père, ou de son cadavre. Peut-être est-ce effectivement un cadavre qu’elle cherche, car Jessup était  » le meilleur fabricant de blanche  » du coin et sa disparition doit être liée à ce douteux trafic.

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

Ma note

2 sur 5

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avis 10 J’ai eu envie de lire ce livre car il collait bien au thème du Lire en thème de cette période… et je dois dire que pour un livre sur le thème de l’hiver, il m’a bien refroidie (oui, excusez le jeu de mots pourri… ça me prend de temps en temps…)

Pourtant, le résumé me tentait bien, ça avait l’air intéressant… puis bam… mon enthousiasme est retombé comme un soufflé…

Ce qui me tentait assez, c’était l’idée d’un semi huis clos dans un village isolé, perdu dans la neige… mais bon, je n’ai pas eu l’effet escompté au final…

J’ai vraiment eu horreur du style de l’auteur, du ton employé, etc… je l’ai trouvé un peu trop « bourrin », familier à l’extrême et vraiment limite grossier… je n’ai pas aimé du tout… De plus, il avait un côté assez brouillon qui là aussi, m’a déplu…

J’ai également trouvé que c’était d’une lenteur, mais d’une lenteur… pour la centaine de page (quasi la moitié du livre, quoi) que j’ai lue, je me suis ennuyée de A à Z

Point de vue des personnages j’ai trouvé Ree, la plus âgée, qui a 16 ans, vraiment désagréable, autoritaire avec sa famille, et franchement, alors que je pensais que j’aurais pu m’accrocher à elle – étant donné qu’elle est quand même le personnage central – eh bien non, elle m’a vite rebutée, et ça ne l’a pas fait..

L’un dans l’autre, je n’ai pas grand-chose à dire sur ce livre.. je n’ai pas aimé au point de ne pas le lire jusqu’au bout. J’ai tellement de lectures qui me tentent dans ma PAL que je ne vais pas perdre mon temps à forcer pour quelque chose qui ne passe pas… C’est peut être dommage, je passe peut-être à côté de quelque chose qui finit par se débloquer et être passionnant, mais tant pis…

 ***

19650807Allez, malgré tout, j’ai vu qu’il existait en film, et avait eu 4 nominations aux oscars en 2011… du coup, je vais voir si cela passe mieux en film !

Bonne journée

 

 

Dans les yeux du tueur de Maggie Shayne

Quarante-huit heures après la greffe de cornée dont elle a bénéficié, Rachel de Luca prend conscience qu’elle vit à la fois un miracle, et un cauchemar. Un miracle parce qu’elle a recouvré la vue alors qu’elle était aveugle depuis l’âge de 12 ans. Un cauchemar parce que, aussitôt après l’opération, elle a de terrifiantes visions mettant en scène des crimes atroces, des visions d’autant plus angoissantes que les crimes qu’elle voit ont bel et bien eu lieu dans la réalité, et qu’ils sont l’œuvre d’un serial killer.
Comprendre ce qui lui arrive, échapper à la menace sombre et diffuse qui se resserre un peu plus chaque jour autour d’elle… Face à l’urgence, face au danger, la seule personne à laquelle elle puisse s’adresser est l’inspecteur Mason Brown. Un homme secret, mystérieux, mais le seul, elle le sent, à pouvoir l’aider face au prédateur qui a pris possession de son esprit.
Dans les yeux du tueur  de Maggie Shayne
Editions Harlequin (Mosaïc), 29 Octobre 2014, 316 pages | Traduit par Carole Benton

 

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

Ma note

4 sur 5

 

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avis 5Je dois vous avouer que le thème du livre m’a immédiatement attirée, étant donné que j’ai déjà eu la possibilité de voir quelques films sur ce thème… mais jamais lu de livres qui en traitaient…

Il s’agit donc d’une femme qui subit une greffe de cornée, et qui, suite à cette greffe, se met à avoir des « visions » qui se voudraient être celles d’un psychopathe de premier ordre, tueur en série, et j’en passe… (et vous savez que rien que de lire « tueur  en série », bam, je me fais avoir et je me laisse tenter…)

J’avoue que j’avais hâte de voir comment cela allait être abordé sans tomber dans le cliché ou l’abracadabrantesque (ça se dit ?) et au final, je ne suis pas déçue car j’ai passé un excellent moment (et je vous avoue qu’après la brique de Karen Rose, un thriller plus léger et plus court, j’ai apprécié malgré tout…)

Bref, venons-en à l’essentiel, mon avis sur le livre …

Si j’avais un petit bémol à formuler (ben oui, autant commencer par les réjouissances, non ?) c’est que pour un livre « court », puisqu’il ne fait que 315 pages (si mes souvenirs sont bons), l’action est hyper lente à démarrer… si je n’avais pas ma curiosité attirée par ce qui allait se passer grâce au résumé, je me serais certainement ennuyée. Mais heureusement, si les débuts sont laborieux, une fois que l’action commence, ça devient bien plus plaisant et on oublie vite les longueurs du début. On y retrouve des secrets, des mensonges, des meurtres, des cauchemars, … que du bonheur et la joie dans les cœurs (ou pas…)

Ce qui m’a énormément marqué, c’est le personnage de Rachel… Cette femme a une volonté et une force incroyables qui la rendent terriblement intéressante et attachante. Elle a un caractère bien trempé, ne prendra pas quatre chemins pour vous dire le fond de sa pensée, et a un « don » particulier pour en un clin d’œil, cerner les gens qui l’entourent ou qu’elle rencontre… Et bien qu’elle soit auteure de guides de développement personnel, elle a un cynisme accru sur la vie qui contrebalance les choses qu’elle écrit et auxquelles elle ne croit pas du tout… Elle est un personnage plein de surprises et de nuances, que j’ai aimé découvrir.

Sinon, pas grand-chose de plus à dire. Ce n’est pas LE roman de l’année, mais il est assez sympa même si sa « simplicité » pourrait en décevoir plus d’un si vous vous attendez à quelque chose de corsé… Je le mettrais dans la catégorie des « thrillers gentils pour moment de détente sympa »… Non, sans rire, … Un livre bien mené, qui saura vous accrocher si vous prenez le temps de dépasser les 50 premières pages sans vous ennuyer…

***

movie_49094 téléchargementUn film sur le même thème : The eye (2008). Sydney Wells, une jeune violoniste de talent, aveugle depuis l’âge de cinq ans, vient à peine de subir une opération de transplantation de cornée, qui lui permet de retrouver son sens perdu. Après un court moment de bonheur engendré par sa vision retrouvée, Sydney commence à voir d’horribles visions, est assaillie de violents cauchemars et découvre avec horreur que ses nouveaux yeux lui font voir les fantômes qui entourent les vivants. Rapidement, elle découvre le nom de la personne à qui appartenaient les yeux, Anna-Christina, et se rend au Mexique pour la retrouver…

 

 

 

Cette nuit-là de Linwood Barclay

Editions J’ai Lu (Thriller)
2011  – 474 pages

Genre: Thriller
Mots clé: Disparitions, souvenirs, meurtres, folie

Vous vous réveillez un matin, la maison est vide, votre famille a disparu…

Cynthia a 14 ans lorsqu’elle se réveille un matin dans une maison vide, ses parents et son frère disparus, sans un mot alors que sa mère ne quitte jamais le domicile sans une petite note pour sa fille. 25 ans plus tard, Cynthia ignore toujours ce qu’il s’est passé cette nuit-là. L’ont-ils abandonnée? Ont-ils été assassinés? Cynthia, aujourd’hui mariée et mère de famille, doit savoir. Très vite, des incidents étranges remettent l’enquête au goût du jour. Cynthia s’approche-t-elle de la vérité? Ou bien est-elle en train de perdre la tête?

Autres éditions
 

Ma note

5 sur 5

 

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avis 1C’était ici ma seconde lecture de Linwood Barclay, et je dois dire que j’ai été encore plus embarquée que lors de la première, avec Celle qui en savait trop…  Je ne sais pas comment fait cet auteur, mais dès les premières pages, c’est l’immersion, c’est cette sensation qu’on ne pourra pas lâcher le livre avant la fin, c’est cette envie de continuer, page après page, pour découvrir la vérité…

Vous l’aurez compris, je n’ai que du positif à vous dire sur ce livre….

Dès le début, j’ai été plongée dans l’ambiance du livre…

L’écriture est simple, mais efficace… pas de fioritures inutiles, on se concentre sur l’essentiel, et ça marche… Ce livre est un page turner des plus efficaces, car une fois dans l’histoire, je n’ai pas réussi à le lâcher… L’histoire coule de source, on se pose des questions en cours de lecture, notre vision de l’histoire change, et rien n’y fait, on a envie de continuer, d’aller voir plus loin pour avoir le fin mot de l’histoire… on est entraîné dans le ce mélange d’incompréhension, de mensonges et de mystères.

L’histoire nous est narrée par le mari de Cynthia, et je dois dire que c’est selon moi une grande force dans le livre… Cela apporte beaucoup plus d’authenticité qu’un narrateur omniscient, et un côté moins pleurnichard et plus cynique que si c’était Cynthia qui nous racontait son histoire.
Au départ, je dois avouer que cela m’a surprise que ce soit lui qui nous raconte l’histoire, mais finalement, c’était utile et de bon choix.

Le personnage de Cynthia est assez déroutant, car tout du long de l’histoire, on ne sait pas exactement quel a été son rôle dans la disparition de ses parents… Une chose est certaine, elle ressent une très forte culpabilité face à ce qui s’est passé…

« Je voudrais que vous soyez morts ! » avait-elle hurlé avant de claquer sa porte. »

Le petit plus? Le personnage de Keisha Ceylon que j’ai déjà rencontré dans Celle qui en savait trop… j’ai adoré retrouvé ce personnage car cela donne une impression de « territoire connu » qui m’a encore plus accrochée à l’histoire.

Maintenant, sur le fond de l’histoire, … se dire qu’en 25 ans, il n’ y a pas eu l’ombre d’une piste sur la disparition de trois personnes, c’est quand même flippant… Se dire qu’à notre époque, avec les médias, les caméras dans tous les coins, … il n’y a AUCUNE trace de 3 individus en 25 ans… waouw… personnellement, c’est le genre de chose qui me glace le sang… je trouve ça terrible (mais là, je le reconnais, je sors du cadre de l’histoire)

Un autre point positif même si c’est insignifiant pour la plupart et que ça n’a rien à voir avec l’histoire en elle même: la référence à mon auteur chouchou 🙂 et qui plus est, un de mes livres préférés:

« Elle s’était endormie en lisant un exemplaire de poche en lambeaux de Misery, de Stephen King. La littérature n’étant pas sa matière principale, Cynthia avait le droit de lire ce que bon lui semblait, et trouvait parfois du réconfort à la lecture d’histoires pires que la sienne. »

C’est vraiment le genre de petit clin d’oeil que j’adore retrouver dans les livres…

Au final, ce livre n’est pas dans l’action… si c’est ce que vous attendez d’un thriller, passez votre tour… Ici, tout est dans la finesse, dans le psychologique, dans la réflexion…

En tous cas, une très bonne lecture… 

 chroniques à lire

 CajouTitePOmme (qui n’a pas aimé) – GrazouSoundandfuryStéphanie Plaisir de lire – 

Les mensonges ne meurent jamais de Séverine De La Croix (2014)

Editions Michel Lafon
304 pages
Sortie : 6 Novembre 2014
Genre: Contemporaine

Une femme qui disparaît.
Un couple en danger.
Les terribles secrets d’une famille.
Un compte à rebours implacable.

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

  part livraddict

Ma note

4 sur 5

 

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avis 3La quatrième de couverture nous en dit, après tout, très peu sur le contenu, mais allez savoir pourquoi, rien que par sa couverture, ce livre a su attiser ma curiosité… J’ai donc été ravie d’être sélectionnée pour pouvoir le découvrir en partenariat avec les éditions Michel Lafon.

Pour le style, on est face à une écriture agréable, sans lourdeurs, sans ralentissements, sans période où l’on s’ennuie (et je dois avouer qu’il est rare, ces derniers temps, que je ne m’ennuie pas à la lecture d’un livre, … donc énoooorme bon point pour ce livre) et pourtant, les chapitres sont assez longs, ce que généralement, j’aime moyennement, mais là, j’étais tellement dans l’histoire que cela ne m’a pas dérangée du tout…
Un cadre qui suit un fil bien tendu, cohérent, …

 Ce livre, il se lit tout seul.. il est addictif, tout coule de source et nous entraîne dans le tourbillon des pages… et c’est vraiment quelque chose que j’aime, quand les pages se tournent, mine de rien…

Dès le départ, on se retrouve dans un univers mystérieux, trouble, où le doute plane… et ce doute et les incompréhensions qu’il génère ont finalement été présents tout au long du roman… j’adore!

On se retrouve face à une intrigue autour de la disparition de Manon, une trentenaire au caractère fort, à la détermination hors paire et qui va être le pilier central de l’histoire.

On va se retrouver avec son lot de surprises et de rebondissements, car souvent, on retrouve dans les histoires de disparitions soudaines et inexpliquées, les secrets de famille, les choses cachées, ignorées, les secrets lourds et destructeurs. Personnellement, j’adore ça. certains diront que c’est du réchauffé, du déjà vu, mais abordé ici de manière tellement agréable qu’il est aisé d’y accrocher et d’apprécier ce moment de lecture. C’est ce que j’aime d’ailleurs, avec la découverte de nouveaux auteurs: on y découvre souvent des petits trésors de talent….

Ce que j’ai aimé, c’est que le livre aborde aussi le sujet des difficultés de couper le cordons avec sa famille, de ne plus se laisser diriger par son entourage, de savoir dire stop et vivre sa propre vie même si elle sort de la voie toute tracée par les parents ou ceux qui nous entourent… C’est une chose tellement courante, tellement « personnelle », et ça renforce le lien que l’on peut avoir avec Manon et en apprécier d’autant plus le récit.

Le seul point noir selon moi : des personnages qui certes sont intéressants, mais un peu sous exploités. J’aurais aimé mieux les connaitre et en savoir plus sur eux. Je pense qu’ils auraient pu être un peu plus développés… mais bon, cela ne nuit pas au roman, juste à mes attentes personnelles…

Vous l’aurez compris, si ce livre n’est pas un coup de coeur, il s’en rapproche largement…

Neige mortelle de Karen Harper

2014
Editions Harlequin (Best-sellers)
480 pages – Sortie : 1 Novembre 2014

Genre: Policier, romance légère
Mots clé: Communauté Amish, meurtre, vérité,

Un cadavre de femme, retrouvé enseveli sous la neige. Puis, quelques jours plus tard, une autre femme, découverte assassinée à deux pas de chez elle… Comme tous les autres habitants de la petite communauté de Home Valley où elle vit, Lydia Brand est bouleversée. Ces décès inexpliqués sont-ils de simples coïncidences ? Au plus profond de son cœur, Lydia est persuadée que non. Pire, elle éprouve le désagréable sentiment qu’ils sont intimement liés à l’enquête qu’elle mène pour retrouver ses parents biologiques… Cherche-t-on à l’empêcher de découvrir la vérité ?
Bien que gagnée peu à peu par la peur, Lydia se résout à vaincre ses réticences et à se confier à Josh Yoder, l’homme pour qui elle travaille… et qui fait battre son cœur en secret. Aussitôt sur le qui-vive, Josh lui en fait la promesse : il l’aidera à lever le voile sur ses origines, et la protégera de l’ennemi invisible qui la guette dans l’ombre.

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

 

Ma note

4 sur 5

 

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avis 5On se retrouve ici face au tome 4 d’une série… et autant vous dire que quand j’ai choisi ce livre, je n’en savais rien… Quoi qu’il en soit, ça n’a pas gêné ma lecture, et que ce soit le tome 4 ou le 1er, ça n’a rien changé au final 🙂 sauf si on a envie de lire les autres livres home valley(les tomes précédents) de la série… car dans Neige Mortelle, il y a des petites références qui font qu’on pourrait s’auto spoiler sur les tomes précédents… (on retrouve entre autre, les mêmes, lieux et les mêmes personnages si j’ai bien compris au vu des résumés des autres tomes… ) je vous mets ici à droite les trois précédents tomes, que du coup, j’ai hâte de trouver en occasion…

J’ai adoré cette lecture principalement à cause de l’environnement, le milieu de l’action, justement : on se retrouve dans une communauté amish.. et vous savez, si vous me suivez régulièrement, que j’adore les livres qui se passent dans ces communautés, histoire d’en apprendre un peu plus sur elles.

J’ai adoré cette histoire, qui lie à la fois meurtres et secrets de famille (ici, par rapport au passé et à la famille de Lydia)… Bien que l’on retrouve souvent ce « schéma » dans la littérature Harlequin, je dois avouer que ce n’est jamais vraiment pareil, …

Et puis, faible que je suis, j’ai aussi craqué pour la couverture : une maison isolée au milieu de nulle part, sous la neige… j’aime ça 🙂

J’ai aimé Lydia, son caractère, sa détermination, et tout ce qu’elle va entreprendre pour découvrir la vérité dans ces deux mystères… Elle a eu une belle vie jusqu’ici avec ses parents, sa seconde famille, mais elle a toujours eu envie de savoir qui étaient ses « vrais » parents (je déteste ce terme, au final)… alors quand un cadavre retrouvé lui apprend que sa mère biologique serait toujours en vie… ça attise sa curiosité, et on le serait bien à moins.

Il y a énormément de suspense également, avec des rebondissements et révélations au bon moment qui permettent de garder toute l’attention du lecteur… Les choses avancent certes lentement, mais cela permet de n’apprécier que mieux les personnages, les lieux, et l’histoire. Ce livre est riche de traditions familiales, de valeurs un peu « old school », à la manière des Amish tout simplement, et s’y attarder un peu est très plaisant, je trouve.

Pour ceux qui craignent l’aspect romance, sachez qu’il n’y a pas de romance lourde et ennuyeuse…  cela reste très « doux », très pudique, je dirais et très discret. Elle ne prend donc pas le pas sur le côté policier/thriller, et c’est tant mieux.

Le style est plaisant à lire, c’est simple, sans fioriture, ça « glisse tout seul ». Donc oui, on n’est pas dans du grand thriller, mais c’est le genre de lectures que j’aime malgré tout… Et puis, je dois être bon public, car jusqu’à la fin, je me suis trompée sur le coupable 🙂

Si vous avez l’occasion de le découvrir, n’hésitez pas…

Sang, lien de parenté, de Nathalie Siwek

Editions Persée
2014 – 396 pages

Genre: Fantastique
Mots clé: Fratricide, voix, folie, mystère, malédiction

Élisabeth, Gloria, Annabelle et Frances sont quatre jeunes filles sans histoire jusqu’au jour où elles décident d’assassiner leur petit frère respectif. Pourquoi ? C’est ce que va tenter de découvrir Écho Grayson, aidée par son amie Dorothy, une vieille dame excentrique au passé trouble. Mais une voix mystérieuse semble vouloir prendre possession d’Écho : elle l’incite à se débarrasser définitivement de son petit frère Lewis, dont elle a la garde… C’est au tour du psychiatre de renom, Luther Wladeck, et du père Blaise, prêtre exorciste, de mener leur enquête pour découvrir quelle malédiction plane sur la jeune fille. Ils vont devoir défier le Malin. En unissant leurs forces, parviendront-ils à délivrer Écho de son emprise néfaste ?

Ce livre entre dans le cadre du challenge:

Ma note

5 sur 5

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avis 3Je dois vous avouer que le titre et la couverture ont fait beaucoup dans mon choix pour cette lecture… De plus, j’avais déjà pu lire Visions nocturnes, du même auteur, et j’avais été enchantée… Que demander de plus dans ces cas là que ce genre de découvertes ?

Et je dois dire que ce fut également une belle surprise.

Dès les premières pages, on entre directement dans l’histoire, on est emporté dans le récit et dans l’univers de l’auteur et c’est ce que j’aime avec sa plume… elle est naturelle et terriblement prenante… un régal.

L’ambiance est glauque, pesante, lourde de secrets et sur fond de « malédiction »… j’adore.

Les personnages sont attachants, surtout celui de Dorothy, cette petite vieille dame aux habitudes assez particulières, qui prend Echo sous son aile et lui offre le gîte et un emploi… je l’ai trouvée très touchante, et j’adore son côté un peu décalé. Elle tient une boutique ésotérique, ce qui m’a évidemment beaucoup plu, rajoutant une petite touche de mystère…

Le personnage d’Echo n’est pas mal non plus… même si j’ai mis un peu plus de temps à la cerner.

Point de vue de l’histoire, que vous dire… elle est attrayante, on entre directement dans le vif du sujet et on a toujours envie d’en savoir plus… C’est cohérent, le fil conducteur est logique et tient bien la route. Je n’ai pas rencontré de choses improbables ou contradictoire, tout se tient.. .

Seul bémol : les premières pages sont bourrées de fautes d’orthographe ou de grammaire… c’est vraiment les 10 premières pages je dirais, le premier chapitre, car après, ça va… Mais honnêtement, j’ai eu beaucoup de mal avec ces pages…

Bref, un livre génial que je vous conseille…

 

Life in Icicle Falls, tome 2 : Noël à Icicle Falls de Sheila Roberts

Editions Harlequin (Best-sellers)
352 pages
Sortie : 1 Novembre 2014

Genre: Romance
Mots clé: Noël, Famille, séparation

Tout avait pourtant si bien commencé… Cassie Wilkes, propriétaire de la petite pâtisserie d’Icicle Falls, doit pourtant l’admettre : si le repas familial qu’elle a préparé pour Thanksgiving frise la perfection absolue, il n’en va pas de même pour le reste de son existence. Loin de là. Sa fille unique ne vient-elle pas d’annoncer à table, devant tous les convives, qu’elle comptait se marier le week-end précédant Noël (autant dire dans cinq minutes) avant de déménager dans une autre ville ? Pire, qu’elle voulait que son père (autrement dit son épouvantable ex-mari) la conduise à l’autel ? Déjà proche du K-O, Cassie doit encaisser l’ultime mauvaise nouvelle de ce repas qui a décidément viré au cauchemar : son ex-mari, sa nouvelle femme et leur chien vont demeurer chez elle le temps des festivités…
Pour Cassie, cette période des fêtes sera à n’en pas douter pleine de surprises et de rebondissements…

Ce livre entre dans le cadre du challenge Lire en thème sur le thème de l’hiver…

Ma note

3 sur 5

 

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avis 7

Décidément, mes lectures de Noël ne commencent pas en grande forme, puisque c’est une semi déception pour moi… Le livre est sympa… mais… Je vous explique tout ça.

Au départ, rien que la couverture m’a fait envie… je n’ai même pas lu le résumé avant de choisir ce livre, car il rentrait pile dans mon état d’esprit…
Il donne une impression de douceur, de fraîcheur, … qui n’est pas pour me déplaire.

Point de vue écriture, je ne vais pas vous étonner en vous disant que ça se lit tout seul… On est dans un livre fait pour se détendre, pour se changer les idées, et là, c’est parfait.

Point de vue des personnages, on se retrouve face à trois personnages principaux, trois femmes: Ella, Cass et Charley… et c’est là que ça a un peu coincé pour moi… Je dois vous avouer que je ne suis pas fan du tout des romans où l’on suit ainsi trois histoires de front… Alors oui, ce sont trois amies, elles se connaîssent, ça reste dans le même cadre… bref, ça m’a bloquée, même si j’ai aimé la lecture, l’histoire, tout ça, je n’ai pas été super emballée à cause de ça…
Certains aiment ça, car cela donne la possibilité à chacun de se retrouver dans l’un des personnages, et à raison, mais l’ennui, c’est que du coup on a trois « intrigues », trois histoires différentes, et ça… non, ça ne l’a pas fait… jongler d’une histoire à l’autre, c’est une chose que je n’aime pas vraiment…

Sinon, point de vue personnages, c’est celui de Cass que j’ai préféré. Au début, j’ai eu beaucoup de peine pour cette mère de famille, et immédiatement, je l’ai prise un peu en pitié.. Ah, les histoires d’ex, ce n’est jamais facile, surtout avec des enfants qui ont une vision toute différente des choses…

Sinon, toutes les trois ont des caractères bien différents et bien affirmés, ce qui est plaisant… on a toujours l’impression, ce magnifique préjugé, que les romans Harlequin ne sont pas travaillés, mais là, les personnages le sont, ils sont agréables, ont une histoire, un vécu et un caractère bien mis en avant dans le roman.

Des thèmes comme l’amitié, la famille, et bien sûr les ex sont à l’ordre du jour dans ce livre, avec son lot de déceptions, de belles surprises et de moments touchants.

Bref, un livre léger que je vous conseille pour cette période des fêtes qui approche… si le fait de suivre les 3 histoires en même temps ne vous gène pas… car en dehors de ça, il est bien agréable 🙂

 chroniques à lire

 

Flocons d’amour de John Green & Lauren Myracle & Maureen Johnson

2010
Editions Hachette
352 pages | Traduit par Alice Delarbre

Genre: Jeunesse, Romance
Mots clé: Noël, adolescents, amour, tendresse, hiver

Un noël très enneigé, un train immobilisé par la tempête, et une  » Maison de la gaufre  » comme unique refuge… Entre rencontres amicales et amoureuses, rires et larmes, des adolescents découvrent et dévoilent leurs sentiments.

Autres éditions
  

Lu dans le cadre des challenges et RDV suivants:

Ma note

4 sur 5

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avis 5

Période de Noël et de fin d’année oblige, et oui, encore un livre sur le thème de l’hiver, de la neige (pour la couverture) et de la douceur… (dans ce monde de brutes… oups)… ça tombe bien, c’est toujours le thème de l’hiver pour lire en thème… je vous avais dit que j’allais me rattraper de mes précédentes sessions nulles à souhait…

J’ai eu la chance de recevoir ce livre de la maison d’édition car il y a la version poche qui est sortie il y a peu (donc si comme moi, vous aviez hésité à prendre le grand format, maintenant, plus d’excuses)…

Mais mon dieu, cette couverture… je la trouve juste adorable, rien que pour la couverture, j’aurais craqué, car elle est tellement de saison… et dégage tellement de douceur que j’avais envie de voir ce qui se cachait derrière (pourtant, si vous suivez le blog, la romance jeunesse ne fait pas partie du tout de mes habitudes de lecture…)

Ce qui m’a fait aussi accepter ce livre, c’est que comme ce sont trois nouvelles, ben si on accroche moins à l’une d’elles, on passe à la suivante… trois nouvelles, trois auteurs, trois styles.. trois fois plus de chance de trouver son bonheur… quoi que… ici, les trois nouvelles se rejoignent, se mélangent, se suivent, bref, elles sont indéniablement liées malgré tout… mais bon… on  ne va pas lui en tenir rigueur, car justement, c’est une belle réussite que cette collaboration d’auteurs.

Mon énorme coup de cœur dans ce livre, c’est la plume de Maureen Johnson que j’ai donc découverte ici… cette auteur a un don phénoménal pour m’amener où elle le veut, et ici, c’était en plein dans l’ambiance et la magie de Noel… je n’ai ressenti ça avec aucune des deux autres nouvelles, pas à ce point en tous cas. Et c’est ce qui fait sa force..

Car oui, en dehors de ça, l’histoire en elle-même ne m’a pas plus embarquée que ça… mais rien que pour l’ambiance, j’ai adoré… En fait, ce n’est pas que l’histoire n’était pas plaisante… mais disons qu’on est dans du jeunesse, et du coup, comme souvent, c’est hyper prévisible… on sait dès le départ où et comment ça va se passer, et bam, ça ne rate pas… c’est un peu dommage…

(mais du coup, ça me donne envie de découvrir l’auteure dans un autre registre, donc si vous avez un titre d’elle à me conseiller, c’est le moment, c’est l’instant … lâchez-vous)

Quand John Green prend le relais et la plume, on est en terre connue, puisqu’on retrouve certains éléments de la première histoire : un fast food, des ados, des pompom girls… une histoire qui certes, point de vue décor, a un goût de déjà vu, mais qui emmène malgré tout dans une histoire bien sympathique qui n’a finalement pas tant que ça à voir avec la première si ce n’est le décor…

La troisième histoire… celle écrite par Lauren Myracle… là, contrairement aux deux autres histoires, c’est avec le personnage central que c’est moins passé… Addie, je l’ai trouvée désagréable, détestable, égocentrique, égoïste… tout le contraire de l’esprit de Noël quoi, et du coup, j’ai vraiment moins aimé cette troisième « partie » du livre…

Comme ce sont des nouvelles, et par conséquent, de courtes histoires, difficile de vous en parler dans trop vous en dire.. je préfère vous laisser découvrir ce petit nuage blanc livresque… (bon, j’ai pas trouvé d’autre comparaison… j’aurais pu dire le cœur de melocake, mais ça, ça colle et on en met plein les pages…)

Ce qu’on trouve de commun aux trois histoires, c’est une plume douce, tendre, qui devrait toucher les ados et encore plus en cette période de Noël… les histoires sont dans la même lignée, entre amour et amité, …

Sinon, en résumé, c’est tout doux, tout sympa, à grignoter page après page au coin du feu avec un bol de chocolat chaud aux marshmallow… 🙂 pour un moment cocooning, douceur et tendresse bien agréable…

Bonne journée à tous…

 

 

Le secret de Crickley Hall de James Herbert (2008)

Editions Milady
762 pages

Genre: Epouvante, thriller fantastique
Mots clé: maison hantée, enfants, disparitions, phénomènes paranormaux

Crickley Hall : une vieille demeure comme on n en trouve que dans les régions reculées de l Angleterre. Vaste et sinistre, elle a même l air un peu menaçant.
Lorsque Gabe et Eve Caleigh viennent s y installer avec leurs deux petites filles, ils espèrent y trouver la paix, et tourner la page sur le terrible malheur qui a frappé leur famille.
Mais quelque chose ne va pas… Bientôt des bruits inexplicables les arrachent au sommeil. Les enfants sont les seuls témoins d étranges apparitions. Et, chaque matin, la porte de la cave est entrouverte alors qu on l avait fermée la veille.
Cette maison est le dernier endroit que les Caleigh auraient dû choisir. L’horreur qui les y attend dépasse tout ce qu ils pouvaient imaginer.
Oserez-vous affronter le terrifiant secret de Crickley Hall ?

qui maime me suiveCe livre entre dans le cadre du RDV « Qui m’aime me suive » instauré par ma choupinette (oui, Bisounours power même pour Halloween) Caro Ver de livre sur sa chaîne YT
Les filles, si vous passez par là, laissez en commentaire le lien de votre chronique, svp… 😉

Ma note

5 sur 5

 

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avis 2Il y a un petit temps que j’avais ce livre dans ma PAL numérique, mais je dois bien vous avouer que le nombre de pages, assez conséquent, me refroidissait un peu…

puis finalement, je ne me suis décidée à l’en sortir quand Caro Ver de livre a proposé de faire une sorte de lecture commune via son RDV/Challenge « qui m’aime me suive »… et finalement, j’ai bien de la suivre et lire ce livre en compagnie de Riz deux zzz, Caro VerdelivreSév, Sophie, Sarah, Isa, et Sabrina…

Point de vue du style de l’auteur… au départ, j’ai eu un peu peur des longues descriptions, presque interminables, en me demandant si j’allais vraiment accrocher ou pas. Car si vous me suivez régulièrement, vous savez que le descriptif lourd, je trouve ça rébarbatif…
Mais là, j’ai de suite accroché, finalement, et j’ai même trouvé que ces descriptions étaient à point nommé pour mettre dans l’ambiance glauque et inquiétante.

Gabe, à son retour deux mois plus tôt, s’était contenté de décrire ces eaux rapides hérissées de rochers comme un gros ruisseau paisible. Mais on était au mois d’août, alors ; à présent, les eaux bouillonnantes menaçaient de submerger les hautes berges. Le pont lui-même était constitué de madriers bruts encadrés, de part et d’autre, d’un treillis de fins rondins accrochés à deux garde-fous massifs.

Vous l’aurez compris, les « décors » à eux seuls feraient flipper plus d’un et ce n’est pas pour me déplaire. J’ai toujours un attrait pour ce genre de bâtisse, sombre, humide, inquiétante, inhabitée depuis longtemps, se nichant au milieu de nulle part, sans un voisin aux alentours, avec une histoire à vous faire froid dans le dos et où tout peut arriver, et surtout le pire…
Là, on est en plein dedans… avec des habitants qui cachent leurs petits secrets mais parlent à demi mots pour encore plus faire se poser plein de questions et imaginer plein de choses…

Ajoutez à cela un vocabulaire choisi avec soin, une manière de parler particulière, une écriture presque « ancienne », et cela plonge complètement dans l’univers fantastiquement génial de James Herbert.

Point de vue ambiance, on est dans l’intriguant, le flippant… surtout quand il est question d’esprits ou de choses paranormales…

La balançoire. La balançoire oscillait doucement, quoique d’un mouvement plus prononcé que lorsqu’ils étaient arrivés un peu plus tôt : en avant, en arrière, elle se balançait comme si quelqu’un – un enfant – y était assis. Mais le siège était vide, bien sûr. Ce doit être le vent, pensa Eve. Pourtant malgré la pluie, les feuilles et les branches des arbres étaient parfaitement immobiles, tout comme les arbustes et les touffes de hautes herbes. Il n’y avait pas de vent.

Pour les personnages, ce fut une autre paire de manches… Eve, la mère de famille, m’a profondément tapé sur le système… elle m’a clairement exaspérée, son comportement m’échappait totalement, je n’ai pas réussi à m’identifier à elle une seule seconde…
Gabe, le père, est resté un mystère pour moi aussi.. je l’ai trouvé « non impliqué » dans l’histoire, ou du moins pas assez à mon goût…

Heureusement, il y a Loren, la plus grande des filles du couple, qui apporte un vent de fraîcheur et plus de maturité que ses deux parents réunis. Je l’ai adorée.

Si ce livre n’est pas un coup de coeur, c’est pour une seule raison: une petite déception liée à l’histoire de Cam… Je ne peux pas vous en dire plus, pour ne pas vous spoiler, mais disons que j’aurai vu les choses autrement, je les aurais aimées différentes, pour plus d’impact…

Quoi qu’il en soit, je vous conseille grandement ce livre, c’est certes une brique, mais elle se lit de manière fluide, rapide, addictive et frissonnante…
James Herbert a un vrai don pour l’horreur..

 

Celle qui en savait trop de Linwood Barclay (2014)

Editions France Loisirs
301 pages | Traduit par Renaud Morin

Genre: Thriller
Mots clé: médium, disparition, voyance

 

Keisha est une charmante arnaqueuse. Cette fausse médium offre ses services moyennant finances à toutes les âmes en détresse, en particulier aux familles en quête d’un proche disparu…
Et justement, Wendell Garfield a perdu sa femme, partie un jeudi soir pour faire ses courses hebdomadaires, mais qui n’est jamais rentrée.
Quand Keisha vient frapper à la porte du mari désespéré pour lui proposer son aide, elle ne se doute pas que, pour une fois, ses « visions » vont frôler de très près la vérité. Alors pourquoi Garfield semble-t-il si violemment contrarié?
Keisha n’a décidément aucun don de voyance: elle vient de se jeter dans la gueule du loup

 

Ma note

4 sur 5

 

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avis 5 Il y a un bout de temps que je voulais découvrir la plume de Linwood Barcley, et un jour, ne sachant pas quoi lire, je cherchais un livre pas trop long… et j’ai penché pour Celle qui en savait trop.

Je dois dire que pour une première approche de l’auteur, je ne suis pas déçue… Cela m’a permis de faire sa connaissance dans la simplicité et cela m’encourage à continuer… Par contre, j’ai eu beaucoup de mal à faire cette chronique, car je ne savais pas quoi dire du livre.. il est rare que cela m’arrive, mais ce fut le cas avec cette lecture.

« C’est ridicule, dit Marcia Taggart. Tu es en train de me dire que cette femme va deviner où est Justin rien qu’en touchant un objet qui lui appartient ? Tu te fous de moi ? Elle va établir une sorte de lien psychique avec lui en tripotant une de ses figurines de petit garçon ou en enlaçant son oreiller ? Tu me prends pour une imbécile ou quoi ? »

Le ton est donné… la fan de Médium que je suis a tilté et a eu son attention toute attirée par le récit. J’avais hâte de démêler le faux du vrai, et de voir comment cela allait évoluer.

«Il était convaincu que certaines personnes possédaient réellement cette faculté, sentaient des choses inaccessibles aux autres. Il regardait même les rediffusions de Ghost Whisperer, ce qui rendait sa mère folle. Marcia disait qu’elle pourrait probablement aussi inciter les morts à communiquer avec elle si elle se baladait tout le temps en robe courte dos nu comme Jennifer Love Machintruc. »

Et si en plus, on fait référence à ma série préférée qu’est Ghost Whisperer, c’est parfait, que demander de plus ?

Par contre, j’ai été un peu surprise par le manque de suspense durant la lecture. On m’avait vanté le don de l’auteur pour faire naître un suspense insoutenable, et là, par contre, cela n’a pas été le cas. Oui, il y a un peu de suspense, oui, on se pose pas mal de questions, oui, il y a de l’intrigue.. mais pas autant que je ne l’aurais souhaité, c’est un peu dommage.

Je ne sais pas si c’est dû au fait que le roman soit un peu plus court que les autres et  que du coup, il a été « plus à l’essentiel » en laissant certaines choses de côté… je ne sais pas…

Point de vue des personnages, sans vous en dire trop, j’ai vraiment apprécié le personnage de Keisha  et son évolution tout au long du roman…

Par contre, le personnage  de Kirk est détestable, le genre d’homme qu’on a envie de voir dégager au plus vite..

Point de vue thème, oui, il n’a rien de novateur, mais j’ai envie de dire que ça, je m’en fiche, du moment que c’est « efficace », et c’est le cas ici…

Sinon, dans l’ensemble, j’ai adoré la lecture, et moi qui « traînait la patte » dans mes lectures ces dernières semaines, là, je l’ai dévoré en deux jours, donc j’étais ravie.

Je n’ai qu’une hâte, découvrir un autre titre de l’auteur parmi ceux un peu plus conséquents, pour voir si le suspense y est plus présent et plus omniprésent, surtout…

En tous cas, si vous ne connaissez pas encore l’auteur, je vous conseille ce titre.. .

Ce livre s’inscrit dans le challenge Découverte d’auteurs, de mon amie Isa 🙂

 

 

Mara Dyer, tome 1 : Qui est Mara Dyer ? de Michelle Hodkin (2014)

Editions Panini (Scarlett)
466 pages – Sortie : 14 Mai 2014

Genre: YA – Thriller
Mots clé: mystère, amnésie, esprits,

Mara Dyer est une jeune fille de 16 ans comme les autres, jusqu’au jour où elle s’éveille dans un hôpital, sans aucun souvenir de l’accident qui a coûté la vie à ses trois meilleurs amis. Dévastée par le chagrin et un profond sentiment de culpabilité, elle souffre terriblement de la perte de ses proches.
Pour repartir à zéro, la famille de Mara part s’installer en Floride. Mais là encore, les nuits de la jeune fille restent agitées, hantées par des visions de l’accident. Mara a l’impression de revoir ses amis, et même de sentir la mort de certaines personnes. Mais que lui arrive-t-il? Est-elle en train de devenir folle?
Qui est vraiment Mara Dyer?

Ce livre entre dans mes lectures pour le challenge de PAL en Pile et me fait remporter mon premier point 🙂

Ma note

5 sur 5

 

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avis 1 Comment vous dire… j’ai adoré cette lecture.. .mais un vrai coup de coeur…

Déjà, l’ambiance… quand l’histoire commence, on est dans une ambiance un peu à la Blair Witch project, je trouve… et ce n’est pas pour me déplaire. Un petit côté « paranormal dans les bois »…

« Cette dernière sortit sa caméra de son sac à dos et la posa sur son épaule. Elle commença à marcher en direction du bâtiment et Rachel la suivit, me traînant derrière elle. Nous atteignîmes une clôture en bois délabrée sur laquelle étaient placardés plusieurs panneaux « Défense d’entrer ». « 

Mais rien que ça m’a fait comprendre que j’allais adorer ce récit… et effectivement….

Le personnage de Mara est très touchant, et pour cause: ne pas se souvenir de ce qui s’est passé, ne plus être maître de soi, de son esprit, quelle horreur.
Tout au long du roman, on voit son évolution, et j’ai apprécié.
Son petit frère apporte une belle touche de fraîcheur et d’insouciance dans le livre.

J’ai adoré aussi le personnage de Noah… je l’ai trouvé déterminé, attendrissant, et son importance dans l’histoire m’a plu. L’aspect « romance » est un epu présent, mais pas à outrance, ce qui fait que cela n’est pas dérangeant malgré tout (car qu’on se le dise, les romances d’ados, ça m’ennuie ferme de plus en plus)

Je dois dire qu’avec tout le soin apporté aux personnages, la manière approfondie de les aborder, ils sont vraiment le gros point fort, les piliers de cette histoire. C’est agréable d’être face à autre chose que des personnages bâclés…

Au bout d’un moment on a l’impression que cela s’essouffle, que le livre perd de la vitesse, mais ce n’est que pour reprendre de plus belle pour un final étonnant.
L’auteur entretien la curiosité et l’envie d’en savoir plus du lecteur, ce qui fait de ce livre un page turner assez efficace au final…

Et la fin donne vraiment le goût d’en savoir plus et de pouvoir découvrir le second tome de la saga…

Vous l’aurez compris, je suis tombée sous le charme de la plume de l’auteur et je n’ai qu’une hâte, lire la suite 🙂 Je vous conseille cette saga des plus addictives…

 chroniques à lire

 Ilnyaqu1pasNessaGr3nouilleGalleane – 

A la dure de Stephen King

Editions Le Livre de Poche
Format : ePub – Sortie : 21 Mai 2014

Genre: Thriller, nouvelle

Bradley Franklin est un publicitaire au sommet de sa carrière. Il vit à New York avec sa femme Ellen, dans un bel appartement de l »Upper East Side baigné de soleil, et on pourrait dire de lui que c?est un homme accompli. Mais, ces derniers temps, Brad est fatigué. Il dort mal, fait toujours le même cauchemar qui le réveille en sursaut, se traîne au bureau. Son métier ne le passionne plus vraiment, il en fait le tour, et la relève est déjà arrivée. Et puis il s?inquiète pour Ellen. Elle est tombée malade récemment. Très malade. Les choses s?arrangent, mais elle semble toujours aussi faible?

Ma note

5 sur 5

 

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avis 3Ahhhh que je suis contente de vous revenir avec du Stephen King… Ces derniers temps, je l’ai vraiment trop délaissé, et sa plume me manquait…
Alors, ni l’une ni deux, quand j’ai eu l’occasion de lire cette nouvelle, j’ai sauté sur l’occasion 🙂

Alors, je suis toujours un peu craintive avec les nouvelles, j’ai toujours peur que ce soit bâclé, que tout aille trop vite, etc… et ici, ce n’est pas le cas. Oui, on va à l’essentiel, on entre vite dans le vif du sujet, mais malgré tout, on en sait assez pour apprécier l’histoire et la vivre pleinement.

D’ailleurs, le narrateur qui s’adresse au lecteur en début de livre, ça a juste le don de m’accrocher directement… donc j’adore.

Bradley, le personnage central de l’histoire, est assez attachant même si un peu bizarre… On a un peu de mal à le cerner, au départ…

J’aime la manière dont Stephen King peut rendre effrayantes des choses banales du quotidien, faire voir les choses sous un autre angle, y poser un autre regard et se dire « mais bien sûr »…

Dans la plupart des livres, quand l’auteur nous balade je n’aime pas ça car on ne sait pas où l’auteur veut nous amener… Ni s’il nous amène réellement quelque part…
Avec Stephen king c’est différent… Il peut limite me balader tant qu’il veut, car je sais que la destination en vaut vraiment la peine…

Je ne peux pas vous en dire beaucoup sur le livre, il s’agit d’une nouvelle assez courte, donc je n’ai pas envie de prendre le risque de vous spoiler. Quoi qu’il en soit, un bon moment de lecture passé en compagnie de l’auteur, moins intense ou dans l’horreur que d’habitude, mais où le suspense psychologique est bien mené… Un bon interlude, je dirais 🙂

 chroniques à lire

 Gr3nouille2010 – Unlecteur

Rondes et sensuelles tome 1 et tome 2 – collectif

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Éditions Dominique Leroy

Genre: Erotique
Mots clé: érotisme, désir, nouvelles, sensualité

les trouver sur Amazon: le tome 1le tome 2

Espiègles, joueuses, complexées ou timides,… Elles ont en commun leurs rondeurs et, même si plusieurs personnages de ces récits le découvrent seulement, leur sensualité : certaines situations, certains lieux, certains regards sont révélateurs. L’intérêt qu’on leur porte, le désir et l’amour les épanouissent.
Des auteurs novices ou plus confirmés, tous amateurs d’érotisme, se donnent rendez-vous dans cette collection qui se veut dynamique : des textes inédits, courts adaptés à des lectures d’aujourd’hui, à parcourir avec délectation sur l’écran des liseuses, tablettes et autres smartphones sans oublier « les bons vieux » ordinateurs.

 

Ma note

3 sur 5

 

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avis 9 Je dois vous avouer que je suis très embêtée au moment de vous faire cette chronique…

Pour tout vous dire, c’est la première fois que je me lançais dans de la lecture érotique (nonnn ne me fouettez pas, je n’ai pas eu envie de lire 50 nuances ou quoi que ce soit) tout simplement parce que je n’en ressentais pas le besoin ou l’envie particulière… Je ne partais cependant avec aucun préjugé quand on m’a proposé de découvrir ces deux recueils, et j’ai même accepté avec plaisir puisque je connais une des personnes éditées dedans…

Bref, … que vous dire sur ces recueils?

En fait, outre le fait que je ne sois pas du tout rentrée dedans (non, ne cherchez pas un sens caché et mal tourné à ma phrase), je n’ai pas de critique négative à en faire.

Les textes sont bien écrits, les plumes (puisqu’il s’agit d’un recueil collectif) sont agréables à lire, dans l’absolu, les histoires sont « sympa », bien tournées, … on est dans la nouvelle érotique, et on y est bien..

Les femmes rondes et bien en chaut des récits apprennent peu à peu à s’aimer, à s’assumer, et en ça, les récits m’ont plus dans le sens où cela change des critères de beauté actuels, on est face à de vraies femmes, comme on en recontre chaque jour, avec leurs défauts, leurs kilos en trop, et leurs envies…

Donc si vous aimez ce genre d’histoires, vous ne « perdez rien » à tenter ces recueils…

C’est juste que personnellement, comme certains ne trouvent pas leur compte dans les thrillers ou les livres d’épouvante car ils ont besoin de plus d’évasion, eh bien je ne trouve pas mon bonheur dans la littérature érotique car je n’y trouve pas ce que je recherche d’une lecture… le côté « voyeurisme » de l’intimité des autres ne m’attire pas plus que ça, … ce n’est même pas que cela me dérange, mais cela ne « m’apporte rien », et du coup, j’ai tendance à vite me lasser et m’ennuyer. Je ne ressens rien à la lecture, pas d’empathie, pas de « désir », pas de frisson… ça me laisse malheureusement de glace… ce qui est dommage au final.
Je pense que je ne suis juste pas faite pour ce type de lectures…

 

 chroniques à lire