Certes, je n’ai pas été convaincue à 100% par cet ouvrage, mais il reste un livre à découvrir pour les personnes qui aiment ce qui à trait aux tueurs en série, aux thrillers, …
Étiquette : Editeur : Le livre de poche
[✎] Les tribulations d’une caissière
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Un livre sympa à lire entre deux lectures sérieuses, ou le week end pour se détendre…
[✎] Racines russes
[✎] Dans la tête, le venin
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Yves, un flic français qu’elle a formé aux techniques de profilage, est peut-être l’unique ami de Diane, dont le caractère difficile est notoire. Il la tient au courant des crimes commis en France avec une rare sauvagerie. Se pourrait-il qu’il existe un lien entre ces meurtres perpétrés au Mexique et à New-York? Entre ces affaires internationales, la traque d’un tueur de prostituées dans les rues de Boston, l’assassinat de Leonor, un fil se noue peu à peu, auquel n’est pas étranger le bizarre « stagiaire » que le FBI a imposé à Diane…
Diane va alors ouvrir la boîte de Pandore, reconstituer le puzzle et remonter jusqu’au prédateur ultime. Et peu lui importent les conséquences.
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[✎] La grammaire est une chanson douce
[✎] Mineure
Ce livre, bien que très court est très troublant… Car j’ai eu beau le retourner dans tous les sens, je n’ai, à aucun moment, compris comment un homme de 55 ans peut être attiré par une gamine de 13 ans… rien à faire… N’est ce pas justement ce statut d’adulte qui fait que l’homme se doit de résister à ses pulsions s’il les sait contraires au bon ordre des choses? N’est-ce pas à lui de savoir dire STOP à une gamine qui lui envoie des messages en pleine nuit?
Alors certes, ce livre ne va pas m’amener à cautionner le comportement tel que celui de Michel, mais il permet de voir « l’envers du décor », celui où un homme se retrouve seul avec lui même face à ses souffrances pour résister à la tentation… et face à une ado de treize ans qui entre en plein dans la phase de sa vie où elle découvre son corps, ses désirs, et son pouvoir d’attirance en même temps… et qui ne maîtrise rien finalement, quoi qu’elle en pense… et qui ne s’imagine même pas la portée de ses actes.
Il brise un peu les à priori que l’on peut avoir, les idées toutes faites,… sans pour autant faire accepter cet état de choses.
Le livre comporte peu de page, le style d’écriture est terriblement fluide, il se lit « mine de rien », sans que l’on s’en rende compte, on avance peu à peu dans le roman, comme si c’était quelque chose de naturel… On se laisse malgré le sujet sensible emporter par l’histoire…
Une merveilleuse découverte… qui permet en peu de pages de faire passer l’essentiel…
Merci Fée-tish pour cet échange qui m’a permis de découvrir cet auteur…
[✎] Journal d’Hirondelle
Le héros n’a pas de nom. Ou plutôt pas d’identité fixe. Il change de nom et de vie comme on change de chemise. Coursier à Paris, il se fait passer pour un certain Urbain, tueur à gages insensible qui retrouve le plaisir des sens et du sexe par le meurtre. Puis il devient Innocent… Mais on ne change pas de vie si facilement. Le passé n’a jamais dit son dernier mot. Surtout lorsqu’il a le visage d’une adolescente fraîchement assassinée et dont le seul testament est un étrange journal intime. Comment ressusciter les sensations après s’être coupé des sentiments ?
J’ai beaucoup apprécié ce roman…
Je suis partie malgré tout avec beaucoup d’appréhensions, mais finalement, la surprise fut des plus agréables.
J’ai aimé cette intrusion dans la vie de cet homme…
Comment un homme peut il en venir à n’avoir plus aucun sentiment? Je trouve cela effrayant…
Ce livre, il est certain qu’il est terriblement dérangeant, mais il est aussi prenant… car même si on est révolté, dégouté, trop interpellé par le comportement du « héros », on ne peut pas poser le livre si facilement que ça… On a envie de savoir la suite, c’est plus fort que tout… De même, même si le personnage central peut apparaître des plus détestables, on ne peut s’empêcher de se prendre de sympathie pour lui… presque le plaindre…
Il est incontestable que je suis toujours aussi charmée par le style de l’auteur, à la fois déjanté, surprenant, énervant aussi parfois, mais c’est ce qui fait son charme, finalement.
Dans ce livre, il n’y a pas de descriptions inutiles et interminables, pas de blabla inutile… on va direct à l’essentiel… dans le vif de l’action…
Et le plus « drôle », c’est que malgré le thème abordé (un tueur, ce n’est pas rien), ce livre est bourré d’humour!
[✎] Nos amis les humains
Ce livre m’a également été prêté par Laurence 🙂 Décidément, qu’aurais-je fait sans elle?
Ce que j’aime avec Bernard Werber, c’est que chaque livre est une découverte merveilleuse, un univers bien particulier…
J’aime beaucoup le style de l’auteur dans ce livre: L’histoire est courte, le style est simple, aéré, rendant la lecture des plus agréables. Il est très aisé de se représenter ces deux humains dans leur cage de verre, et de voir leur progression. l’auteur a vraiment ce don de nous faire rêver, je pense, malgré les univers les plus improbables qu’il nous fait visiter.
Il faut reconnaître que très vite, on en vient à découvrir la fin, mais le livre est tellement bien que l’on a malgré tout envie d’en savourer chaque page… C’est ce qui selon moi est signe que le livre est bien écrit.. on n’arrive pas à s’en détacher aussi facilement…
« Nos amis les humains » se lit de manière fluide… Un moment de détente, de rêverie, de curiosité (savoir ce qui va se passer à chaque moment où la lumière s’éteint, par exemple), … Pour moi, tous les ingrédients sont présents pour une lecture plus relax entre deux livres plus « prise de tête » par exemple…
J’aime toujours autant le plume de Bernard Werber… Il arrive toujours à me transporter dans des univers qui n’appartiennent qu’à lui…
[✎] Est-ce ainsi que les femmes meurent?
Catherine Kitty Genovese n’aurait pas dû sortir seule ce soir de mars 1964 du bar où elle travaillait, une nuit de grand froid, dans le Queens, à New York. Sa mort a été signalée par un entrefilet dans le journal du lendemain : » Une habitante du quartier meurt poignardée devant chez elle. » On arrête peu de temps après le meurtrier, monstre froid et père de famille. Rien de plus. Une fin anonyme pour cette jeune femme drôle et jolie. Mais sait-on que le martyre de Kitty Genovese a duré plus d’une demi-heure, et surtout que trente-huit témoins, bien au chaud derrière leurs fenêtres, ont vu ou entendu la mise à mort ? Aucun n’est intervenu. Qui est le plus coupable ? Le criminel ou l’indifférent ? Récit saisissant de réalisme et réflexion sur la lâcheté humaine, le roman de Didier Decoin se lit dans un frisson.
[✎] Lettre ouverte aux gens heureux
Alliénation, pollution, surpopulation, sont des mythes. La grande injustice faite au Tiers Monde est aussi un mythe.
Bien entendu, il y a des dangers, des accidents, des problèmes. La navigation est difficile ? Oui, mais permettez : je ne fais pas confiance aux gens qui, à propos de la mer, ne me parlent que du mal de mer.
Des élites atteintes de sinistrose. Une opinion découragée par l’Eglise du Pessimisme occidental, une jeunesse corrodée par la canaillerie du dégoût. Voilà ce que cette lettre dénonce.
Pourtant des millions d’hommes, qui ne sont ni imbéciles ni pervers, trouvent que les choses, après tout, ne vont pas si mal que ça. Ces millions d’hommes ne manquent ni de confiance, ni d’espoir, ni de raisons de vivre dans cette société libérale. Mais ils n’osent plus l’avouer de crainte d’aller contre la super-mode du mécontetement.
Cette lettre réagit contre l’escroquerie morale organisée par les « nabots criards du négativisme ».
Persuader que les hommes qu’ils sont malheureux est une action infâme.
C’est une tâche sacrée que de répéter à l’homme qu’il est heureux et qu’il ne s’agit pour lui que de se rendre compte. »
L. P.
[✎] Veronika décide de mourir
(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ L’histoire ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
Veronika, jeune et jolie Slovène, semble avoir tout ce qu’elle peut souhaiter dans la vie. Pourtant, elle n’est pas heureuse. Le 21 novembre 1997, elle décide de mourir. Sa tentative de suicide la conduit à l’hôpital psychiatrique de Villete où elle côtoie de véritables fous, mais aussi une population apparemment normale qui semble s’être réfugiée derrière les hauts murs de l’asile par peur de l’inconnu, désir de sécurité ou lassitude d’une existence routinière. Là, Veronika comprend que, à chaque minute de notre existence, nous avons le choix entre vivre et renoncer et que, pour se sentir pleinement vivante, elle devra reconnaître la part de folie qu’elle porte en elle.
(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ Mes impressions ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
Au départ, j’ai pris ce livre pour une raison un peu particulière: j’ai pris connaissance du film du même nom, et avant de visionner celui-ci, je voulais absolument lire le livre… car bon nombre de fois, quand je vois le film avant de lire le livre d’où il est tiré, je suis déçue de ma lecture. hors, vu le thème de cette histoire, je ne voulais pas en perdre l’attrait…
Dès le premier paragraphe, cela commence fort: « Le 21 novembre 1997, Veronika décida qu’il était enfin venu le moment de se tuer. Elle nettoya soigneusement la chambre qu’elle louait dans un couvent de religieuses, éteignit le chauffage, se brossa les dents et se coucha »… Le ton est donné…
Une chose qui m’a bien étonnée, ce sont les raisons qui ont poussé la jeune fille à commettre un tel geste… car à bien y penser, ces raisons pourraient en pousser plus d’un à faire le même geste… alors comment une situation peut mener une jeune femme à en arriver là? Comment son entourage peut-il ne pas se rendre compte de l’avancement de l’état dépressif?
Ce livre est aussi une formidable source de questionnement sur ce qu’est la folie… un fou, c’est quoi? les définitions apportées iront de « c’est quelqu’un qui vit dans son propre univers » à « la folie, c’est l’incapacité à communiquer ses idées »… (p 90)… avec la conclusion suivante: nous somme tous fous d’une façons ou d’une autre…
Ce qui m’a choqué, ce sont les pratiques orchestrées dans les asiles psychiatriques, et le fait que la dépression puisse être assimilée à la folie…
En cela, je trouve le livre très dur.
Pour nous offrir un tel livre, Paulo Coelho s’inspire avant tout de son vécu, ayant lui-même été interné à plusieurs reprises… Et c’est ainsi qu’il peut décrire sans problème les institutions psychiatriques et les pratiques qui y sont utilisées… nous emmenant tant sur le chemin de la folie que sur celui de la profonde réflexion sur le sens réel de la vie.
C’est sans doute pour cela que ce livre est si touchant, si poignant, et si criant de vérité. On y retrouve bien la « griffe » de l’auteur qui sait manier la plume de telle manière de faire de chaque oeuvre un cheminement philosophique, un véritable voyage au coeur de sa propre existence.
Que dire de ce livre?
Contrairement à ce que le titre pourrait laisser présager, le livre n’est pas un livre dépressif… c’est plutôt une véritable ode à la vie, un merveilleux message que bon nombre de personnes devraient lire…
D’un point de vue strictement personnel, il m’a enseigné à ne pas baisser les bras, garder espoir, et continuer de me battre quoi qu’il arrive. Parce que la vie est l’un des cadeaux les plus précieux…
S’il y avait une phrase à retenir du livre, pour moi ce serait « Rien dans ce monde n’arrive par hasard ». (p13)
(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ Premières phrases ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
« Le 21 novembre 1997, Veronika décida qu’il était enfin venu le moment de se tuer. Elle nettoya soigneusement la chambre qu’elle louait dans un couvent de religieuses, éteignit le chauffage, se brossa les dents et se coucha »
note: 17/20
(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ Le mot de la fin ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
Pour le coup, j’ai bien hâte de voir le film, à présent…
[✎] Personnes disparues
(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ L’histoire ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
Comment expliquer la disparition de Justin, six mois, et de sa baby-sitter de quinze ans ? Aucune trace, pas de demande de rançon. A Taylorsville, on ne manque pas de coupables tout désignés, objets de haines diverses : cette Ellen, dépressive depuis la mort de son enfant en bas âge ; ou ce prof de lycée déjà inculpé pour harcèlement sexuel envers une mineure…
(¯`·._.••·.·´¯`·.·•☆ Mes impressions ☆•·.·´¯`·.·••._.·´¯)
J’ai beaucoup aimé ce livre !
Je trouve l’intrigue bien menée, même si je pense que la fin se traîne un peu…
Patricia Macdonald a un style d’écriture qui fait que tout au long du roman, tout semble couler de source, il n’y a pas de brêche, pas de faille dans la continuité… je n’y ai trouvé aucun temps mort, aucun moment où on se dit « il ne se passe rien ».
Le sujet du livre, un enlèvement d’enfant, ça arrive de plus en plus de nos jours, et ce roman permet d’être un peu « des deux côtés du miroir »… on vit l’angoisse des parents tout au long du livre, et à la fin, on vit les motivations des personnes responsables de l’enlèvement…
le tout dans une ambiance inquiétante, haletante, et menée de main de maître du début à la fin…
La seule chose que j’ai un peu regretté, ce sont les sentiments du prêtre vis à vis de Maddy… J’ai trouvé cette vision décalée et hors sujet… l’histoire s’en serait très bien sortie sans ce mélange de sentiments, et le prêtre y aurait tout autant trouvé sa place sans ceux ci…
Un livre que je conseille néanmoins à tous les amateurs du genre. Un bon moment lecture en perspective..
Note personnelle: 16/20
[✎] Un cri dans la nuit
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Quatrième de couvertureJeune divorcée, Jenny se débat dans la vie pour élever ses deux petites filles. Lorsqu’elle fait la connaissance du beau, riche et irrésistible Erich Krueger, Jenny a le coup de foudre. Après une cour hâtive, Erich l’épouse et l’emmène avec ses filles chez lui, au Minnesota, dans une maison de rêve. Mais le bonheur de Jenny ne dure pas longtemps. Bientôt survient une succession d’incidents étranges et terrifiants ; le conte de fées tourne à l’épouvante… Un cri dans la nuit, après La Nuit du renard et La Clinique du docteur H., confirme Mary Higgins Clark comme le maître incontesté du suspense.
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Ce que j’ai aimé dans ce roman, c’est l’atmosphère qui y règne…
Tout au long du récit, on se demande ce qui est vrai, ce qui est imaginaire,… je me suis moi-même retrouvée emplie de doutes quant aux certitudes que j’avais en lisant les dix pages précédentes…
Dans beaucoup de romans de Mary Higgins Clark, le drame, l’intrigue met du temps à se mettre en place, elle éclate quasi à la fin, mais pas ici… Dès les premières pages, on est plongé dans l’intrigue, dans le drame, dans la succession d’évènements tragiques…
Ce que j’ai aimé également, c’est la richesse psychologique des personnages… La manière dont ils évoluent, dont ils parviennent à leurs fins… Ils en sont parfois si machiavéliques…
Le seul bémol, la seule chose que je trouve dommageable, c’est la trop grande naïveté de Jenny… Elle semble presque irréelle… Car on ne peut manquer de se dire qu’une personne « normale » aurait eu la puce à l’oreille bien plus tôt,ce serait posé des questions plus tôt, et n’en serait pas arrivée là…
Mais Chuuut, je ne vais pas tout vous dire non plus 🙂
Mais globalement, il s’agit là d’un des meilleurs livres de Mary Higgins Clark qu’il m’ait été donné de lire… Ma « passion » pour cette auteure ne s’en trouve donc pas entachée…
Note personnelle: 16/20






















