[Lecture] Stanley Hotel : La vraie histoire de Shining (Antoine Charpagne )

Colorado, tout près des Rocheuses. Dans un coin isolé entre forêts et montagnes se dresse depuis bien longtemps un majestueux hôtel, aussi magnétique qu’inquiétant. Les voyageurs qui se risquent à s’y présenter ne sont pas légion durant certaines périodes de l’année, et les conditions climatiques en hiver contraignent d’ailleurs les propriétaires à le fermer. Cela ne vous rappelle rien ? L’histoire d’un gardien qui devient fou et tente d’assassiner sa propre famille ? Toujours pas ? Et si je vous dis Stanley Kubrick ? Cela vous revient ? Shining, évidemment. Mais avant d’être un chef-d’oeuvre du 7e art, l’histoire a germé dans l’esprit de l’un des romanciers les plus familiers des récits d’horreur : Stephen King. Et dans le cas présent, c’est une peur bleue très personnelle qu’il raconte…
Une chose est sûre, King n’est pas près d’oublier cette expérience. Il est 16h50 ce 28 octobre 1974, et c’est l’Heure H de mon histoire.

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Les éditions Samsa, c’est une maison d’édition belge, qui de base a une ligne éditoriale assez éloignée de mes habitudes de lecture puisqu’elle s’inscrit principalement dans des écrits historiques , des rééditions patrimoniales ou des ouvrages poétiques…

Mais ils ont également une petite collection qui s’appelle L’heure H, et qui reprend des petits livres, d’une 60aine de pages, autour d’une personnalité ou un lieu connu. C’est tiré d’un podcast de la RTBF (une chaîne de télévision belge) où chaque jour, sont racontés des histoires criminelles, des affaires mystérieuses, des grandes découvertes et des exploits où l’homme se surpasse. N’hésitez pas à suivre ce podcast si vous aimez ce genre de contenu, c’est mon cas, et il est disponible sur différentes plateformes de podcast… donc pas d’excuse…  (et sinon, vous les retrouvez directement sur le site de la RTBF : L’heure H – Podcast Histoire – Auvio (rtbf.be) )

Et dans cette collection « l’Heure H », je vous avoue qu’il y a encore 4 livres qui pour l’instant ont retenu mon attention : celui sur Les possédées de Loudun, celui sur Jeffrey Dahmer, celui sur Agatha Christie, et enfin celui sur James Dean.

Mais revenons-en au sujet  qui nous intéresse aujourd’hui.

★★★

Vous n’êtes pas sans savoir que je voue, depuis ma préadolescence, une passion pour l’univers de Stephen King… Je serais incapable de vous dire pourquoi, mais dès le premier livre que j’ai pu découvrir de l’auteur, il m’a embarqué dans son univers au travers de ses différents écrits, et je n’en suis jamais vraiment sortie.

Si je devais vous faire un top 3 de ses livres qui m’ont le plus plu, je dirais…
En haut du classement, Misery… qui est un livre que j’ai adoré…
En seconde position Shining (que j’aimerais vraiment me relire un de ces jours)
En troisième position Bazaar…

Et en dehors de ses propres écrits, j’aime toujours découvrir d’autres livres en lien avec l’auteur…
C’est pourquoi, quand j’ai vu ce livre sur l’univers de Shining… je me devais de le découvrir.

L’écriture d’Antoine Charpagne est assez fluide à lire… On est face  à un style assez épuré, sans grande fioriture (et c’est un compliment, car rien de pire qu’un texte écrit dans un style lourd, à mes yeux), et dans un style assez familier.
Il est  très agréable à la lecture. D’ailleurs ce petit livre je l’ai dévoré, je m’y suis plongé, et je ne l’ai pas lâché avant la fin.

Point de vue du contenu du livre…

On va y aborder des notions telles que comment Stephen King a découvert cet hôtel, l’historique de l’hôtel, et également la manière dont l’œuvre de Stephen King a été adaptée au cinéma.

Il y aura aussi des petites anecdotes sur des phénomènes si je puis dire qui se sont passées au sein de l’hôtel au gré des différentes périodes où il a pu accueillir des célébrités ou des gens comme vous et moi…

On en apprend un peu plus sur Stephen King, notamment sur ses habitudes d’écriture et sur ce qui a pu l’inspirer pour Shining. Je trouve ce genre d’ouvrages vraiment très intéressants, car si j’aime lire les œuvres d’auteurs que j’aime énormément, j’aime tout autant en apprendre un peu plus sur l’origine d’une œuvre qui me touche, ce qui l’a inspirée, ce qui l’a fait germer dans l’esprit de l’auteur… je trouve ça fascinant de voir à quel point l’inspiration peut parfois venir de petites choses ou de situations qu’on pense sommes toutes banales au début.

Parmi les habitudes de l’auteur que j’ai aimé apprendre, c’est par exemple que peu importent les circonstances, il consacre toujours trois ou quatre heures à son poste de travail, généralement le matin, à fin de s’adonner à l’écriture. En fait c’est ce qui lui permet de rester hyper régulier dans ses publications et c’est le genre de petites anecdotes que j’aime…

L’Overlook hôtel dans Shining, ça a été un lieu qui m’a longtemps intriguée, passionnée, et même effrayée. Rien que le bâtiment en lui-même, je le trouve tellement fascinant. Je trouve sa structure et son charisme si je puis dire tellement imposant. Je dois vous avouer que c’est un lieu qui m’aurait plu de pouvoir visiter (un peu comme le château de Fougeret, dans une autre mesure).

Certains extraits expliquent un petit peu certaines références qu’elle a pu utiliser Stephen King dans son roman Shining par exemple :

« King avale son whisky, discute philosophie de vie et fin de saison touristique avec ce Grady au ton monocorde et à l’allure des plus bizarres. King dira plus tard de lui qu’il ressemblait à un homme qui aurait tué sa famille à coups de hache. Il retourne ensuite à sa chambre. »

Ce que j’ai adoré dans ce petit livre, c’est que comme je vous l’ai dit en début de débrief, on en apprend vraiment sur l’origine du lieu, pourquoi il a été construit dans quelles conditions etc. C’est vraiment quelque chose que j’aime apprendre, que j’aime découvrir.

C’est pour cela aussi, par exemple, que j’aime regarder les vidéos d’urbex ou les explorateurs font une petite enquête sur le lieu, essaye d’apprendre d’où vient le lieu, son histoire, les conditions dans lesquelles il a été abandonné,… Mais là encore, je m’égare…

En conclusion, que vous dire…

Si je devais vous résumer mon avis en une phrase…

J’ai vraiment trouvé ce livre très intéressant sur tous les petits détails qui peuvent être donnés tant sur le lieu, son histoire, que sur mon auteur chouchou qu’est Stephen King… et je ne regrette absolument pas ma lecture. Rien que pour ça, ce livre m’a énormément plus.
J’irais même plus loin en disant qu’il y a certainement plein d’autres petites anecdotes que l’auteur, fan de Stephen King également, a certainement choisi de ne pas mettre dans le livre, mais que ce doit être super enrichissant d’en discuter avec lui autour d’un café… le genre de discussion interminable mais où le temps semblerait s’être figé…

[Lecture] Abandonnée par les siens (Catherine Barneron)

Catherine a été une enfant martyre dès l’âge de sept ans.
Battue, exploitée, abusée par sa mère et son beau-père, elle doit la vie sauve à son placement en foyer. Ayant échappé à l’enfer familial, puis à un terrible séjour dans l’institution du Patriarche, elle est parvenue à fonder une famille. Mais, le 2 mai 2000, c’est le drame…
Comment se reconstruire après des années de prison ?
Comment affronter le regard des autres et, surtout, celui de ses enfants ?
Avec une sincérité et une énergie vitale bouleversantes, Catherine Barneron raconte les épreuves qu’elle a traversées et la possibilité du bonheur, malgré les blessures

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J’aime beaucoup découvrir ce genre d’ouvrages… , j’ai toujours trouvé ça enrichissant, et fait appréhender les choses différemment et de se dire que, finalement, nos petits tracas de tous les jours sont bien peu de choses.

J’avais déjà lu le premier tome de ce livre, Et pourtant, tu étais ma maman, qui est sorti également aux éditions de l’Archipel. Et dans ce « premier tome », si je puis dire, l’auteure nous racontait son enfance… De son placement chez son parrain et sa marraine, le retour de sa mère dans sa vie, les années d’humiliation, de torture, de maltraitance physique et mentale.

J’avais apprécié la lecture de ce premier tome pourtant très dur, mais pourtant, j’ai eu un peu plus de mal à lire ce second tome,… non pas par rapport à l’ouvrage lui-même, mais par rapport à mon état d’esprit.
Le fait que l’auteure ait le même prénom que moi y joue peut-être aussi… ça donne davantage l’impression de s’identifier à la personne … surtout que certains passages ont résonné en moi.

Ce qui m’a beaucoup touché, c’est la manière dont ses anciennes relations, malsaines, anormales, ont pu affecter sa vision d’elle-même et la vision qu’elle a d’une relation amoureuse.

« Le soir où nous faisons l’amour pour la première fois, je fais ce que tous les hommes ont toujours exigé de moi : je me baisse pour lui pratiquer une fellation. Il me redresse et me serre dans ses bras. — Non, Cathy, murmure-t-il, ce n’est pas ça, l’amour. Je vais te montrer. Avec cet homme, je vis enfin une relation normale. »

On ne s’en rend pas toujours compte, mais notre passé nous conditionne de telle manière qu’on en vient à croire que le « négatif vécu» , c’est la normalité des choses. On attrape des habitudes qui ne devraient pas être…
Du coup, quand on se retrouve dans une relation saine,… on ne comprend pas toujours ce qui se passe, on se dit « mais non, c’est pas normal puisque cela n’a jamais été comme ça par le passé », alors qu’en fait, … si. Et je peux vous dire que quand on rencontre cette personne extraordinaire qui a la patience de vous accompagner dans l’apprentissage de cette « normalité », ça vaut tout l’or du monde. 

Et c’est ce que j’aime dans ce genre de livres, et dans celui-ci en particulier : on ne fait pas que le lire « bêtement »… on part aussi partiellement en introspection, on réfléchit,… ce genre de témoignages de vie nous apporte toujours quelque chose, d’une manière ou d’une autre.

L’auteure nous raconte aussi comment elle est devenue maman, et comment ce « nouveau rôle » lui a fait réaliser d’autant plus à quel point ce qu’elle a vécu étant enfant n’était pas normal… et que ce n’était pas de sa faute surtout.

« En contemplant Bob blotti contre ma poitrine, ses doigts minuscules abandonnés sur ma main, je pense à ce que m’a infligé ma mère. Mon incompréhension est totale. Comment peut-on haïr un enfant que l’on a porté et mis au monde ? C’est inconcevable. Ces gens-là sont anormaux. »

Je trouve qu’il faut un courage extraordinaire pour dire de donner naissance à un ou plusieurs enfants quand on a subi le pire soi-même étant enfant. Avoir le courage de se dire que oui, on a vécu des atrocités, mais que le monde n’est peut-être pas si pourri que ça dans sa globalité. Avoir le courage de donner naissance à de petits êtres qui hériteront de ce monde, car pour être honnête, quand je vois le monde actuel… cela m’interroge beaucoup sur l’avenir que l’on propose réellement à la nouvelle génération… Cela me fait peur pour ces jeunes qui doivent assumer bien malgré eux le monde de demain…

Il y a eu un autre passage que j’ai beaucoup aimé et qui m’a interpellée

« Durant des années, j’ai eu honte de mon malheur et me suis sentie coupable. J’avais certainement fait quelque chose pour mériter ces épreuves et si je me faisais pardonner, ma mère m’aimerait enfin. Toute ma vie, j’ai essayé de me rapprocher d’elle, jusqu’au jour où mon fils m’a dit : « Arrête, maman, tu n’as jamais eu de mère, n’essaie pas de t’en inventer une. » Il a raison. »

Misère, cette fichue culpabilité
C’est tellement « humain»  de se sentir coupable du mal qu’on a pu nous faire. Se dire que si certaines personnes ont mal agit avec nous, c’est forcément qu’on le méritait, qu’on est responsable de notre malheur. Sauf que comme le fils de l’auteure lui a fait comprendre, au final, ce n’est pas elle le problème, ce n’est pas elle la responsable. Ceux qui ont un comportement déplacé, ce sont eux qui sont responsables de ce qu’ils font subir aux autres, le problème vient d’eux, si je puis dire, même s’ils essaient de faire croire le contraire. Et ça, il faut parfois beaucoup de temps, d’amour et de travail sur soi pour s’en rendre compte.

Dans le cadre de l’histoire personnelle de l’auteure, mais misère qu’est ce que tout au long de sa vie, sa mère a pu lui prouver encore et encore à quel point elle est néfaste. Je ne comprendrai jamais cela.

« Vers l’indépendance Bob est âgé de trois ou quatre mois lorsque je reçois un courrier. En le lisant, tout mon corps se met à trembler. C’est une lettre de la DDASS. Une enquête est ouverte afin de s’assurer que je m’occupe de mon fils. On leur a signalé des négligences, mon bébé serait laissé sans surveillance et mal nourri. Je sais que rien de tout cela n’est vrai, mais je suis terrifiée à l’idée qu’on puisse m’enlever mon bébé, le seul être au monde qui compte pour moi. En larmes, je cours chez Lola. »

A lire tout ce que la mère de l’auteure a pu lui en faire voir tout au long de sa vie… punaise il faut tellement de force et de courage pour passer au travers de tout ça…

Si l’on n’est pas capable de s’occuper et d’aimer son ou ses enfants, on n’en fait pas… Déjà que je me dis souvent que mettre un enfant au monde dans les conditions actuelles, c’est limite égoïste vu le monde qu’on va leur laisser et tous les combats qu’ils auront à mener sans n’avoir rien demandé à personne, mais si en plus, les parents, ceux qui sont supposés leur donner l’amour et les « armes » nécessaires pour grandir et s’épanouir, ne sont pas capable d’assumer leur rôle… à quoi bon ?

Vous l’aurez compris, ce livre nous propose une histoire vraiment émouvante, touchante, dure à lire mais pourtant ne tombant pas dans le larmoiement. C’est raconté avec justesse et dignité.

Je vous conseille donc la lecture de ce livre si les témoignages, les histoires de vie, vous intéressent.

Le livre sur le site de la maison d’édition
Le livre sur Amazon

[Lecture] Marie Alsina – Poupées hantées et autres objets maléfiques

Les objets les plus communs : jouets, vêtements, bijoux, meubles, tableaux, instruments de musiques, sans oublier les miroirs, se retrouvent parfois hantés. Une force non définie, souvent assimilée à l’énergie de leur ancien propriétaire ou à un esprit malin, les utilise alors à des fins nuisibles… Ils peuvent rester « silencieux » et inactifs pendant des semaines, des mois ou des années. Et un jour, pour des raisons difficiles à comprendre, une énergie mystérieuse vient les réveiller. Des phénomènes étranges commencent alors à se produire. À travers une sélection d’histoires terrifiantes mais véridiques, vous allez découvrir comment d’innocentes poupées, de vieux ours en peluche, de banals lits d’occasion ou des chaussures usées ont transformé la vie de leurs propriétaires en cauchemar, les obligeant – après mille tourments – à se séparer de l’objet auquel ils étaient pourtant attachés. Cependant, prenez garde ! Si vous entrouvrez la porte du monde fascinant des objets hantés, plus jamais vous ne regarderez vos poupées et vos objets familiers de la même manière…

Haaaa le paranormal, ça reste malgré tout, je vous l’avoue, quelque chose que j’apprécie beaucoup, tant en visionnage de vidéos (films, vidéos youtube, …) qu’en lecture. Je ne saurais vous dire pourquoi cet attrait, il est là, tout simplement, même si pour certains, c’est quelque chose de bizarre.

J’ai commencé cette lecture “pleine d’espoir”, pour passer un bon moment lecture, le thème des poupées hantées, ça me parle depuis longtemps (je crois que ça a commencé avec le film Chucky, et renforcé avec la saga Annabelle, on  ne va pas se mentir. Pourtant, il y a énormément de films ou livres qui parlent de ce sujet, mais ce sont pour moi les deux plus “marquants” (même si Chucky, c’est une forme de possession assez différente de ce qui est abordé ici, mais soit…)

J’ai été au final assez mitigée par cette lecture… j’ai du mal à mettre exactement les mots sur ma déception, mais je n’ai pas “eu ce que j’attendais”…

Déjà, je trouve le ton du début assez froid, et assez sceptique… j’ai eu cette impression que dès le départ, la personne qui nous relatait les faits et donc, a écrit le livre, ne croyait pas du tout au paranormal et que son seul but était de débunker chaque histoire… C’est vraiment le ressenti que j’ai eu, et ça m’a dérangée. Je ne m’attendais pas du tout à ça.

Point de vue du contenu en général, et donc, des différentes histoires abordées, je les ai trouvées assez diverses et variées, et donc ça c’était assez intéressant.
Si je ne suis pas fan de l’Histoire au sens large, l’histoire personnelle des objets m’intéresse énormément. Connaître le passé d’un objet, je trouve ça fascinant, et ça lui confère une valeur particulière qui n’a rien à voir avec son prix…

Bien évidemment, le chapitre qui m’intéressait le plus était celui sur la poupée Ann Raggedy, devenue célèbre par les films Annabelle, que j’adore…

La médium voulait tenter de rentrer en contact avec l’esprit de la poupée et visiblement elle y parvint car quelque chose lui répondit, qui prétendait s’appeler Annabelle Higging, une petite fille de sept ans dont le corps avait été découvert sur la propriété. Annabelle leur expliqua qu’elle jouait dans les champs bien avant que l’immeuble ne soit construit et qu’elle était heureuse. Puis ses amis avaient grandi, ils avaient fait leur vie, et elle s’était retrouvée seule. Elle était restée ainsi pendant quelque temps, puis elle avait trouvé Angie et Donna, et pensant qu’elles pourraient la comprendre, elle avait commencé à faire bouger la poupée de chiffon pour attirer leur attention. Annabelle, qui disait avoir besoin d’affection, leur demanda si elle pouvait se glisser dans la poupée pour rester auprès d’elles, et émues aux larmes, les deux filles lui accordèrent la permission sans hésiter. En l’invitant dans leur appartement, elles venaient de commettre la plus terrible des erreurs, mais elles l’ignoraient encore.

J’ai aimé apprendre quelques petits détails sur cette histoire (que je n’ai pas vérifié, je  vous l’avoue, j’ai actuellement lu ce livre en ne vérifiant rien, même si je me suis fais une liste de sujet à approfondir 🙂 )
On y retrouve aussi les histoires d’autres poupées, un peu moins connues du commun des mortels mais qui n’en sont pas moins intrigantes pour autant.

Idem avec le chapitre consacré aux tableaux et peintures hantés.
Je n’en connaissais pas la moitié, je l’avoue, et j’ai adoré les découvrir. Certaines malédictions liées sont tellement irréelles et pourtant si flippantes ! Je peux vous dire que je ne laisserais pas ces peintures entrer chez moi 🙂

Ce que j’ai apprécié, c’est que quand un film est inspiré d’un fait réel présenté dans le livre, il est cité, et quand comme moi on est cinéphile, c’est appréciable.

La mésaventure des deux colocataires inspira le film The Mirror à Edward Boase. Il raconte les mésaventures de trois amis qui achètent un miroir hanté sur eBay dans l’espoir de remporter un million de dollars, une récompense promise à ceux qui présenteront une vidéo prouvant l’existence de phénomènes paranormaux.

L’autrice nous présente donc des poupées, des tableaux, mais aussi des choses moins communes, dont on parle moins, comme une chaise, un coffre maudit, …

Les esprits des défunts s’attacheraient parfois aux vêtements, aux chaussures, aux bijoux ou, d’une manière plus générale, à toute chose qu’ils ont aimée de leur vivant et qu’ils auraient voulu emporter avec eux dans la tombe.

Dans l’ensemble, le livre est intéressant, j’ai vraiment adoré découvrir les histoires de ces objets, mais je pense que je n’aurais pas dû le lire “en une fois”… car vu comme c’est écrit, je dois vous avouer qu’à force c’était long et lourd à lire malgré tout, très condensé.

Par contre, il faut reconnaître que j’ai beaucoup apprécié la 8ème partie. Elle est dédiée aux témoignages, et vu qu’ils ne sont pas écrits directement par l’autrice elle-même, ils apportent une nouvelle fraîcheur et légèreté par rapport au reste.

« Je possède une vieille planche Ouija des années 1930. Je la tiens de ma grand-tante Aglaé, qui vivait dans une ferme, avec ses parents, son frère et sa sœur. Son histoire n’est pas banale. Un jour, un feu s’est déclaré dans la grange où ma grand-tante avait laissé son Ouija. De nombreux animaux ont péri brûlés vifs, et la grange a été si sévèrement endommagée qu’ils ont été obligés de la raser pour en reconstruire une nouvelle. Toutes les affaires stockées dans le bâtiment ont été détruites dans l’incendie, à l’exception de la planche Ouija, qui a été retrouvée, mystérieusement intacte. Pourtant, rien ne restait, ou presque, de la balustrade où elle était posée.

En bref, un livre intéressant sur le fond, où la forme est parfois lourde de par l’écriture de l’autrice.
Si le sujet vous intéresse, je ne peux que vous conseiller de lire ce livre en parallèle à un autre livre, et le découvrir petit à petit et pas en une fois. 

[Lecture] Survivre jusqu’à demain, de Brigitte Jobin

Par un soir de novembre, j’ai fait une rencontre que je regrette encore à ce jour. Tant de fois, j’ai souhaité ne jamais être allée à cette soirée. Ne jamais avoir croisé la route de cet homme qui a détruit ce que j’avais de plus beau en moi.
Petit à petit et contre ma volonté, il s’est emparé de ma parole, de mes décisions, de mes désirs, de mes rêves et de mes droits. Il a fait de moi une statistique de plus dans l’horrifiant compte des femmes violentées.
Pendant des mois, ma vie a dépendu des humeurs de mon bourreau. J’ai subi des violences physiques, psychologiques, économiques et sexuelles aux mains d’un récidiviste qui a passé entre les mailles du système.
Pendant des mois, tout ce que je souhaitais, c’était survivre jusqu’au lendemain. Jusqu’au moment où je rassemblerais assez de courage pour le dénoncer.
Et me sortir enfin de ce calvaire.
Brigitte Jobin a connu un véritable parcours de la combattante. Après avoir survécu à d’innommables horreurs, elle a entrepris un long chemin vers la guérison. Elle nous livre aujourd’hui son histoire, tout en force et en résilience, afin de faire tomber les préjugés. Parce qu’à cette triste époque où le nombre de féminicides ne cesse d’augmenter, il est crucial de parler de cette violence.

 

 

 

La violence conjugale est un thème qui m’interpelle énormément, qui me touche plus que de raison, et même si ça fait mal, j’ai toujours à coeur de lire des témoignages sur le sujet.
Comprendre la violence conjugale est quelque chose que beaucoup ont du mal à faire. On entend souvent des réflexions comme “c’est sa faute, elle n’avait qu’à partir de là”… eh bien non, ce n’est pas aussi facile. Et parfois, les réflexions font mal.
Je ne vais pas ici vous raconter l’histoire de Brigitte. ça, elle le fait bien mieux que je ne pourrais le faire dans son livre.
Dire que l’on a un “coup de coeur” pour un ouvrage qui raconte une histoire aussi douloureuse, je ne sais pas, je trouve ça bizarre. Je dirais donc que ce livre est un “must read”.
Avec ses mots choisis avec soin, Brigitte nous raconte tout… et nous le fait ressentir… car oui, ce livre m’a énormément fait souffrir… ce livre m’a énormément fait pleurer… il fait ressortir des émotions qu’on pensait enfouies…
Malgré tout ce qu’elle a traversé, Brigitte a pu s’en sortir, et elle est aujourd’hui plus debout que jamais… Et ça, c’est un message d’espoir… pour toutes les femmes (et hommes) qui, comme Brigitte, se retrouvent sous l’emprise d’un conjoint violent, que ce soit psychologiquement ou physiquement…

[Lecture] Je ne mérite pas de vivre, de Céline S.Camisuli

 

J’ai quarante-deux ans. A l’époque, personne ne parlait de harcèlement scolaire. Je l’ai pourtant vécu durant quatre longues années. Aujourd’hui que je suis mère, j’aimerais protéger ma fille de ce fléau. Mais aveuglée par la vie, je ne vois rien. Rien, jusqu’à ce qu’elle décide qu’elle ne mérite pas de vivre. 

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Auto-édité
Facebook de l’auteure
Note personnelle : ★ ★ ★ ★ ☆

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J’ai quarante-deux ans. A l’époque, personne ne parlait de harcèlement scolaire. Je l’ai pourtant vécu durant quatre longues années. Aujourd’hui que je suis mère, j’aimerais protéger ma fille de ce fléau. Mais aveuglée par la vie, je ne vois rien. Rien, jusqu’à ce qu’elle décide qu’elle ne mérite pas de vivre.
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Vous le savez, le harcèlement scolaire est un sujet qui me tient énormément à cœur. Dès que je vois un ouvrage qui en parle, j’ai à cœur de m’y plonger.
Je suis tombée sur celui-ci par hasard, sur Amazon, et l’ai commandé dans la foulée. 

[Disclaimer] Dans ce genre de livres, les mêmes thématiques sont souvent abordées. j’estime donc que d’en parler n’est pas du spoil vis-à-vis « de l’histoire »…
Ce qui différencie un ouvrage d’un autre, sur sur ce sujet, c’est surtout la manière dont l’auteur nous le livre et l’aborde.
Mais au moins, vous êtes prévenus…

Ce livre, contrairement à beaucoup que j’ai pu lire, est assez particulier sur plusieurs points. Continuer à lire … « [Lecture] Je ne mérite pas de vivre, de Céline S.Camisuli »

[Lecture] Toujours brave, de Matthieu Meriot

Dans ce livre, je raconte les épreuves que j’ai traversé sur le handicap, mes premières expériences en ESAT et comment je me sens aujourd’hui en tant que personne en situation de handicap. J’aborde aussi la force que j’ai au fond de moi pour surmonter les obstacles qui m’empêchent d’avancer. Un livre fort et poignant sur le handicap qui vous montrera ma force et ma détermination à donner le meilleur de moi-même !

Auto-édition
Note personnelle : ★ ★ ☆ ☆ ☆

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J’ai beaucoup hésité avant de vous faire cette publication… Parce que celle sur deux des précédents ouvrages de l’auteur n’a pas été bien prise du tout par l’auteur, parce que je pense que même si ce n’était pas on but, ça l’a profondément touché… parce que mon but n’est pas de blesser une personne, mais de donner un avis, une opinion sur ce que je lis, mais dans la bienveillance autant que possible.

Puis je me suis dit que finalement, l’auteur – ce jeune homme d’une vingtaine d’années – répète haut et fort sur son mur facebook tous les jours à quel point il compte « se battre », et qu’il veut « vivre de ses livres ». Et que pour moi, un auteur, ça doit aussi pouvoir faire face aux critiques de son public, qu’elles soient positives ou négatives, tant qu’elles sont faites dans le respect et ont pour but de l’aider, peut être, à progresser, améliorer son travail.

Ce que j’avais principalement reproché aux deux précédents ouvrages, c’était d’une part le manque flagrant de relecture (j’en veux pour preuve les nombreuses fautes de grammaire et d’orthographe), et d’autre part le manque de maturité de l’auteur (qui, pour rappel, était à l’époque des livres précédents âgé de 19 ans et souffre d’un handicap mental).

DISCLAIMER : j'ai travaillé 8 ans dans le domaine du handicap - touchant tant des enfants que des adultes - , j'ai baigné dans cet environnement également une bonne partie de mon adolescence puisque mon papa a également travaillé en lien direct avec des personnes souffrant de handicap et que je l'accompagnais souvent dans ses journées de travail quand je  le pouvais. Je ne manque donc absolument pas de respect envers les personnes souffrant d'un handicap et je ne les décrédibilisent pas non plus. Je me permets juste de le préciser ici puisque c'est, je le rappelle, le sujet principal de ce nouveau livre de l'auteur.

Continuer à lire … « [Lecture] Toujours brave, de Matthieu Meriot »

[Lecture] Les invisibles de Fougeret , de Véronique Geffroy

Laissez-moi vous raconter une histoire aussi incroyable que réelle.
Lorsque j’ai entraîné ma famille dans l’acquisition et la restauration d’un château abandonné, j’ignorais qu’il était encore habité par ses anciens occupants. Si au début les voix, silhouettes, coups dans les murs et manifestations physiques étranges nous laissaient perplexes, nous avons appris à les connaître, à les comprendre et, pour certains, à les craindre.
Mais loin des clichés sur les maisons hantées, les invisibles de Fougeret nous ont surtout fait grandir. Si nous voulions nous en sortir vivants, il fallait ouvrir notre esprit aux esprits du lieu.

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Editions Michel Lafon
Note personnelle : ★ ★ ★ ★ ★

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Oh la la, cette chronique est tellement compliquée à écrire pour moi… Non pas parce que le livre ne m’a pas plu, mais parce qu’au contraire, j’ai tellement adoré ma lecture que d’une part, je ne sais pas par où commencer, et d’autre part, si je m’écoutais, je vous en ferais limite un résumé en 10 pages 🙂 

“Ce château avait quelque chose d’intrigant. Je me suis souvenue que, quelques années auparavant, je m’étais interrogée sur ce domaine dont les poivrières en ardoises brillaient de l’autre côté de la rivière. Il m’avait déjà fait signe. Je l’avais alors ignoré. Il venait de se rappeler à moi. “

La plume de Véronique est juste exceptionnelle… tout simplement parce qu’on sent qu’elle écrit avec passion, et avec le coeur, et qu’elle parvient à merveille à nous transmettre ses ressentis, ses émotions, sa passion… 

J’ai commencé cette lecture sans me focaliser sur l’aspect strictement paranormal. Car même si cela m’intéressait – on ne va pas se mentir, Fougeret est principalement réputé pour cela –  j’avais surtout hâte de voir comment une personne lambda en arrive à vouloir s’offrir un château et le rénover. et pour avoir vu il y a peu un reportage sur les premiers mois de travaux, et le résultat qu’il y a aujourd’hui… je trouve le travail accompli admirable et fascinant, surtout quand on voit tout ce par quoi ils ont dû passer pour en arriver là.. 

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[Lecture] Pourtant, c’était mes amies, de Lisa Correia

 » Comment peut-on rire de la souffrance des autres ? C’est odieux, immonde, malsain, irrespectueux, noyer dégradant, ça fait mal, ça te pourrit de l’intérieur, et même si tu arrives à t’en débarrasser, ça te suit. Le harcèlement scolaire c’est un foutu parasite qui te fera toujours remonter à l’esprit des souvenirs atroces. »

J’ai eu envie de parler du harcèlement scolaire. J’ai essayé de faire passer un message d’espoir. Alors c’est à travers l’écriture que j’ai décidé de tirer un trait sur mon passé.

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Auto-édition
Note personnelle : ★ ★ ★ ★ ☆

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Je pense que je n’ai plus besoin de le dire, mais le harcèlement scolaire est une cause qui me tient énormément à coeur. Un fléau qui ne devrait plus être toléré, qui ne devrait plus exister.
J’ai à coeur, ces derniers temps plus encore, de vous parler de livres et de témoignages lus sur le sujet… pour que cela cesse.

Aujourd’hui, je vous parle du témoignage de Lisa Correia.

Ce livre, témoignage, elle l’a écrit en 2017, à 17 ans, soit 4 ans après les faits, puisqu’elle a subit ce harcèlement quand elle avait 13 ans.

Je me suis beaucoup reconnue dans son témoignage, et ce dès les premières lignes :

« Aujourd’hui… . J’arrive à m’exprimer à l’oral devant un certain nombre de personnes, j’arrive à demander une baguette de pain sans stresser et devenir rouge comme une tomate, je n’ai plus honte d’être la personne que le suis ».

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[Lecture] Un enfer scolaire + Parle , de Mathieu Mériot

Un enfer scolaire : En feuilletant ce livre vous allez découvrir mon histoire concernant le harcèlement scolaire. Pendant des années, j’ai subi des coups et des moqueries. Aujourd’hui, j’écris ce témoignage pour pouvoir aider et sensibiliser un maximum de personnes face à ce fléau, touchant 1 élève sur 10 en France.
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Parle : De la maternelle à la quatrième, je subis coups, blessures, rumeurs, insultes, humiliations, et souffrances quotidiennes. Je vis dans la peur et dans la honte constamment. Je me débat comme je peux pour survivre à cet enfer et frôle plusieurs fois le suicide. Mais un jour, je trouve enfin la passion qui me permettra de sortir de tout ça : l’écriture. Dans ce livre, je raconte le harcèlement scolaire dont j’ai été victime au cours de ma scolarité. Un livre unique qui vous entraînera au coeur de la spirale du harcèlement scolaire.

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Auto-édition
Note personnelle : ★ ★ ☆ ☆ ☆

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J’ai mis beaucoup de temps avant de réussir à faire cette chronique. J’ai beaucoup hésité car je n’avais pas envie de blesser l’auteur et qu’il est difficile de juger un témoignage surtout sur un tel sujet : le harcèlement scolaire.
Mais après tout, le but de ce blog est de partager mon avis sur mes lectures, et sur des sujets qui me touchent, j’ai donc eu envie de le faire malgré tout…
Ma chronique concerne les deux livres, car mes remarques et mon avis sont les mêmes pour les deux ouvrages…

Pour remettre les choses en place, j’ai moi-même été victime de harcèlement et mauvais traitements de la part de mes « camarades de classes » entre mes 11 ans et mes 13-14 ans environ. Parce que quand on a sauté une classe et demie et qu’on se retrouve beaucoup plus jeune que les autres de sa classe, qu’on est petite, (très) ronde, qu’on n’a pas des vêtements et accessoires de grandes marques, et qu’on est déjà pas sûre de soi, les autres ont vite fait de faire de vous leur bouc émissaire et que si au départ, ce ne sont que des mots méchants lancés ça et là, de simples moqueries, cela passe rapidement aux insultes, aux coups de poings dans le dos dans les rangs, aux coups de pieds dans la cour de récré ou dans les cours de gym, aux cours saccagés, livres volés, aux sales coups pour vous faire avoir des ennuis… et vous donner envie de disparaître du paysage définitivement.
Donc le harcèlement scolaire, je sais ce que c’est, ce que cela fait, et à quel point ça peut briser. J’ai 40 ans aujourd’hui et je n’ai toujours pas acquis la confiance en moi que j’aimerais avoir…
Tout ce qui touche au harcèlement scolaire  est quelque chose qui m’interpelle et me touche énormément – livres, témoignages, films, séries, documentaires – … c’est pour cette raison que j’ai eu envie de lire ces ouvrages.

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[avis de lecture] Ce n’est pas toi que j’attendais – Fabien Toulmé

C’est l’histoire d’une rencontre. La rencontre d’un père et de sa petite fille pas comme les autres. Pour Fabien, l’annonce de la trisomie de Julia, c’est le monde qui s’écroule. Comment faire face au handicap de son enfant ? Comment apprendre à l’aimer ? Entre colère, doute, moments de tristesse et bonheurs inattendus, l’auteur raconte le difficile chemin d’acceptation qui le mènera vers sa fille. Une histoire d’amour, à la fois touchante et drôle, tendre et sincère, sur le thème universel de la différence.

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sortie le 8 octobre 2014
Editions Delcourt
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Je dois bien vous avouer que cette BD est de loin la plus troublante, la plus émouvante, la plus bouleversante qu’il m’ait été donné de lire… 

Je ne m’attendais pas du tout à ça, enfin, je connaissais le thème, mais je ne m’attendais pas à être prise à ce point dans un tourbillon d’émotions…

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[avis de lecture] Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité – Aurélien Barrau

Le-plus-grand-défi-de-lhistoire-de-lhumanité-de-Aurélien-BarrauLa vie, sur Terre, est en train de mourir. L’ampleur du désastre est à la démesure de notre responsabilité. L’ignorer est aussi insensé que suicidaire.

Plus qu’une transition, je pense qu’il faut une révolution, et c’est presque une bonne nouvelle.

Ce livre fait suite à l’appel signé par 200 personnalités, que l’actrice Juliette Binoche avons lancé dans le journal Le Monde du 3 septembre 2018.

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sortie le 2 mai 2019
Editions Michel Lafon

Lu en partenariat avec la maison d’édition
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[avis de lecture] 365 Tweets de sagesse – Alexandro Jodorowsky et Alex Lhermillier

« Aujourd’hui, la poésie naît d’une étroite collaboration entre l’écrivain et ses lecteurs : ensemble, ils créent l’oeuvre. Il faut les gagner chaque jour, les surprendre, les convaincre, les secouer, les caresser. Telle une barque habitée par eux, il faut avancer sur la mer sombre de l’inconscient pour arriver à la Conscience. »

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[avis de lecture] La magie du rangement, illustrée – Marie Kondo et Yuko Uramoto

Et si pour améliorer votre quotidien et changer votre vie, vous mettiez de l’ordre dans votre intérieur?
Voici l’adaptation graphique de la célèbre méthode de Marie Kondo, pour en finir avec la pagaille et changer votre vie !

Chiaki lutte contre un appartement désordonné, une vie amoureuse chaotique et un manque de perspective sur son avenir. Elle fait appel à Marie Kondo, conseillère en rangement. Grâce à une série de leçons amusantes et judicieuses, l’auteur aide Chiaki à remettre en ordre sa maison et sa vie.

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[avis de lecture] Comment déshériter ses enfants ? Petit guide de la méchanceté quotidienne et comment y faire face – Rafaële Rivais

Il dénigre sa femme sur Facebook en l’accusant d’intégrisme, Quand les enfants font annuler le remariage de leur père. Qui paie les employées du défunt ?

Tirées de faits réels, ces affaires judiciaires surprenantes ou absurdes, parfois tout à fait incroyables, sont autant de mini-drames du quotidien. Chacune décrit la cruauté, la malveillance, la jalousie, ou la moquerie à l’œuvre dans la famille ou à ses confins, et dévoile les dessous de la procédure ou de la décision judiciaire correspondante. Au fil des chroniques, l’auteure dresse le portrait des mœurs actuelles et recense bien des pratiques malsaines de notre époque.

En en démêlant les dessous, elle permet de comprendre comment pareilles affaires peuvent plomber la vie de ceux et celles qui en sont victimes : relations toxiques, pièges de procédure, pratiques abusives, mauvaise foi, confusions et autres arnaques.

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[avis de lecture] Des enfants tuent un enfant – Gitta Sereny

1993. Liverpool. En plein centre commercial, le petit James Bulger, deux ans, échappe à la surveillance de sa mère. Deux jours plus tard, son corps sera retrouvé, affreusement mutilé. L’horreur atteint son paroxysme lorsqu’on découvre les deux criminels : Jonathan Venables et Robert Thompson ont dix ans, des visages charmants, des voix innocentes. Gitta Sereny se lance dans une enquête sur les racines du mal dont ni elle ni le lecteur ne sortiront indemne. Comment un enfant se transforme-t-il en monstre 

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